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Le blog de Desqueyroux


MITTERRAND'S FRANCE : DEEP STATE AND CRIMINAL PEDOCRACY PEDOPHILES ET RESEAUX PEDOCRIMINELS DE LA MITTERRANDIE DES ANNEES 1950 à 2024 (VI. LA NIEVRE ET SES MARGES: YONNE, CHER, SAONE-ET-LOIRE)

Publié le 20 Février 2024, 15:13pm

MITTERRAND'S FRANCE : DEEP STATE AND CRIMINAL PEDOCRACY
PEDOPHILES ET RESEAUX PEDOCRIMINELS DE LA MITTERRANDIE DES ANNEES 1950 à 2024
(VI. LA NIEVRE ET SES MARGES: YONNE, CHER, SAONE-ET-LOIRE)


Dans les réseaux de la pédocriminalité mitterrandienne, on observera que deux "galaxies" (en interaction) se détachent nettement. La Nièvre, fief de François Mitterrand pendant 50 ans, avec ses marges (Yonne,  Cher, Saône-et-Loire), et Marrakech, paradis des pédocriminels de la Mitterrandie, reviennent de façon fréquente. Des groupes aussi se dégagent principalement: les réseaux privés, anti-gaullistes, de François Mitterrand issus soit directement de Vichy (et composés de pétainistes), soit de Mai 68, et les cathos "progressistes" post-conciliaires et associatifs, parisiens, de gauche caviar et également mitterrandiens dans la quasi-totalité des cas (avant de TOUS passer  du mitterrandisme au sarkozysme, puis au macronisme). Sous des divergences trompeuses, tous sont sous influence américaine, défendent les mêmes intérêts atlantistes et larbinent, consciemment ou inconsciemment, pour la CIA. On constate, en examinant les cas de Le Troquer ou Mitterrand sous la IVe République, de Paul VI, du Libération pédophile de Serge July, de Cohn Bendit ou de Pierre Arpaillange, que la CIA se tient toujours en arrière-plan de leurs turpitudes. Il est donc à peu près certain que l'agence américaine n'est pas étrangère à l'installation et à la promotion des réseaux pédophiles au rang d'assise du pouvoir en France, ce qui est logique, car d'une part, la politique de conviction, porteuse de résistances, est court-circuitée au profit de réseaux transpolitiques de pervers sexuels, et d'autre part, le chantage au scandale permet de compter sur une obéissance absolue, voire sur des règlements de compte spontanés en interne. Rappelons que, de façon aujourd'hui parfaitement officielle (et non "conspirationniste"), la CIA a géré de nombreuses opérations de chantage sexuel à travers les USA, employant des prostitué(e)s pour cibler des diplomates étrangers dans ce que le Washington Post avait naguère désigné comme des "honeypots". Sous le MacCarthysme, Roy Marcus Cohn est connu (et a été condamné) pour avoir organisé un réseau pédocriminel (la fameuse "Suite 233" du Plaza Hotel) afin de "tenir" pour les agences de renseignement US certaines personnalités influentes. En Europe, les réseaux stay-behind, tel Gladio, en lien avec la Loge P2, ont joué le même rôle. En France, la CIA avait un double objectif: éliminer les communistes, opposés à la domination capitaliste et à l'impérialisme américain, et de Gaulle qui garantissait l'indépendance française. Elle y est parvenue en deux temps: d'abord Mai 68 a éliminé de Gaulle, puis l'élection de Mitterrand en 1981 a donné le baiser de la mort au PCF, ne laissant subsister comme noyau électoral dur que l'amalgame composé de soixante-huitards formatés par la Californie (hippies, UCLA, Hollywood, charismatiques), des ex-pétainistes passés collabos des intérêts américains et des technocrates cathos mondialistes. Le tout soutenu financièrement et médiatiquement par le pédocriminel anti-français, Pierre Bergé, le Soros des Charentes.


En tout état de cause, une conclusion s'impose rapidement: c'est sous Mitterrand, grâce à Mitterrand, avec Mitterrand que la France est devenue une pédocratie criminelle. Les amitiés particulières que François Mitterrand entretient DIRECTEMENT en disent long sur lui personnellement: *Danielle Gouze, sa propre femme, sa belle-sœur *Christine Gouze-Rénal, le pro-pédophile *Robert Badinter, le pédophile collabo *Fernand Maillet, le pédophile collabo *Alain Cuny, le pédocriminel *Gabriel Matzneff, "anarcho-pétainiste" (et néanmoins de père et de mère juifs), le pédophile *Michel Tournier, le pédophile (condamné en 1950, puis protégé par Mitterrand) *André Baudry, le pédophile fortement présumé - ou en tout cas indiscutablement complice - *Hubert Védrine, le pédocriminel international *Pierre Bergé, l’effaceuse de scandales pédophiles *Elisabeth Guigou, le pourvoyeur *François Durand "de Grossouvre", le pasteur pédophile *Joseph Doucé, le curé pédophile *Nicholas Glencross, etc. etc. etc. – tous étaient des amis intimes de François Mitterrand, indépendamment de toute politique, ce qui conduit à s'interroger sur le degré d'implication personnelle de Mitterrand dans les réseaux. Et cette implication remonte certainement à la IVe République, comme le suggèrent les allusions du pédophile *Frédéric Mitterrand concernant les vantardises obscènes que s'échangeaient François Mitterrand et le pédocriminel *André Le Troquer, avocat véreux, politicard prévaricateur de la SFIO et organisateur de "ballets roses". Enfin, il est plus qu'instructif de constater la proximité de la femme de Mitterrand, *Danielle Gouze, avec le Centre de Recherche et d'Information sur l'Enfance et la Sexualité (réseau pédocriminel), et de sa sœur (donc la belle-sœur de Mitterrand), *Christine Gouze-Rénal, productrice des "Amitiés particulières" en 1964 (film pédo interdit aux mineurs), avec le mouvement Arcadie du curé défroqué et pédophile condamné *André Baudry.


On n'est donc pas étonné que ce soit François Mitterrand qui lance le pédocriminel *Jack Lang, dont la crétinerie et l'inculture sont proverbiaux et un objet de plaisanterie dans les cercles du pouvoir socialiste des années 1980. Lang n'est pas arrivé là par ses compétences ou son mérite. Jack Lang est, dès les années 1970, signataire de tribunes pro-pédophiles et l'un des autoproclamés "trois mousquetaires de Mitterrand" avec deux autres pédophiles avérés: *Pierre Bergé et *Pascal Sevran, dont l'émission consternante, malgré une audience misérable, fut maintenue de force à la télévision par le pouvoir mitterrandien. C'est encore Mitterrand qui lance la très équivoque *Elisabeth Guigou que lui présente *Hubert védrine. Cette étrange Guigou, qui est intime avec le pédocriminel *Olivier Duhamel, effacera "par inadvertance" les CDs de Zandvoort à l'ahurissement du rapporteur de l'O.N.U, Jean Miguel Petit, et elle se chargera de nier publiquement l'affaire des charniers d'enfants révélée en direct par une maladresse de Martine Bouillon, la substitut du procureur de Bobigny, visiblement traumatisée, sur un plateau de télévision. Mitterrand a dévolu à Guigou le rôle évident d'effaceuse. Enfin, de façon très révélatrice, c'est toujours François Mitterrand qui donne l'ordre qu'on relâche le kidnappeur, tortionnaire et assassin *Claude Dunand, qui donne l'ordre qu'on laisse en liberté le violeur, tortionnaire et sans doute assassin *Michel Caignet, qui donne l'ordre (d'après Jean Edern Hallier) d'assassiner le "pasteur" *Joseph Doucé pour sauver la peau du pédocriminel *Pierre Bergé (très grand ami de Mitterrand). Ordre donné à Jacques Fournet, préfet de la Nièvre, et chef de la "police politique de Mitterrand" (dixit Edwy Plénel, dans La Part d'ombre).


Par-dessus le marché, les réseaux pédocriminels de la Nièvre (et par suite, de l'Yonne) prospèrent sous François Mitterrand, et de façon limitrophe en Saône-et-Loire, connue pour l’opération ADO71, et dans la fraction nivernaise du Cher. Dans la Nièvre, ils s'articulent autour de *Jacky Kaisersmertz, instituteur et élu socialiste à Cosne-sur-Loire (Nièvre), de *Michel Caignet, pédo-sataniste néo-nazi et agent de renseignement des services mitterrandiens, à Saint-Père (Nièvre), de *Nicolas Glencross, curé catholique, au presbytère de Saint-Léger-des-Vignes (Nièvre), un presbytère qu'il partage pendant DIX ANS (!) avec le proche de Mitterrand *Hubert Védrine...  Mais la liste des pédocriminels de la Mitterrandie implantés dans le Nivernais est trop longue pour être détaillée ici, et la plupart s'y maintiendront encore longtemps après la mort de Mitterrand, comme *Claude Lévêque, pédophile auteur de multiples viols sur des enfants, membre du réseau des soi-disant "artistes" contemporains de la Nièvre, soutenu par l’Association Pour l’Art Contemporain (APAC) de la Nièvre, le Centre d’art contemporain de Nevers (Bernard Delosme, Michel Philippart, etc.) Claude Lévêque vit entre sa propriété de Raveau, dans la Nièvre, et le 6e arrondissement de Paris.


Dans les années 1980, Mitterrand institue un dispositif de rétro-contrôle de la situation pour la rendre étanche aux fuites. Comme il a promu une "effaceuse" en Elisabeth Guigou, Mitterrand a aussi mis en place son exécuteur particulier des basses oeuvres pour étouffer les affaires et éliminer les témoins gênants: le flic pourri Jacques Fournet, préfet de la Nièvre. Sous Mitterrand, les assassinats politiques liés à la Nièvre et à ses réseaux pédocriminels sont retentissants et ne laissent aucun doute sur leur nature. Deux particulièrement ont défrayé la chronique. Le pasteur pédocriminel franco-belge *Joseph Doucé est assassiné dans les mêmes circonstances et au même endroit que *Robert Boulin: au bord de l'étang de la forêt de Rambouillet. Le hasard est exclu. C'est donc une signature. Et un avertissement. François de Grossouvre, dont la famille est originaire de la frange nivernaise du Cher (Grossouvre), sera également assassiné. Or, Grossouvre était l'instigateur des réseaux de la police politique mitterrandienne dont Jacques Fournet était l'exécuteur des basses œuvres. Grossouvre aussi prétendait détenir des dossiers compromettants. Grossouvre aussi était une passerelle entre le Parti Socialiste et l'extrême droite (Le Pen), voire les néonazis (Dominique Venner). Enfin, Grossouvre était un pourvoyeur des réseaux. Comme Michel Caignet.


Les réseaux pédocriminels sont les nouveaux réseaux "transpolitiques" de pouvoir installés par Mitterrand sur lesquels va s'appuyer intégralement le Macronisme où tous les personnages-clés des réseaux mitterrandiens sont fixés aux principaux points de verrouillage, comme Elisabeth Guigou, Jack Lang, Jean-Marc Borello, voire promus comme Nicole Belloubet, ou célébrés comme Robert Badinter ou Michel Tournier.


LISTE NON EXHAUSTIVE (V4.1, 2021-2024)
Pour toute communication (complément d'information, correction), merci de l'adresser à
Anne-Marie Vandenbosch
BP
Bruxelles


Cabrol (médecin)


Challou (médecin)


Alain Chiapello, Réseau CORAL (adoubé par François Mitterrand, financé par le CRÉDIT AGRICOLE)


Alain Cuny, pédophile, ex-vedette du cinéma collabo d’Occupation nazie. Ami personnel de François Mitterrand, lui-même vrai collaborateur pétainiste et résistant de la dernière heure (d’ailleurs méprisé par de Gaulle qui, après la Libération, lui fait savoir qu'il "ne reprend pas les traîtres", d'où la haine de Mitterrand pour de Gaulle et sa volonté de détruire l'oeuvre de la Ve République, c'est-à-dire le relèvement de la France de 1958 à 1968, en s'appuyant sur le mariage de la carpe et du lapin: les soixante-huitards et les pétainistes, tous deux acquis aux intérêts américains et qui partageant la même haine de de Gaulle). Partisan de la "révolution sexuelle" (on s'en doute), il joue dans des films cochons des années 1970, comme "Emmanuelle". Le 14 juillet 1981, Alain Cuny est personnellement invité à l’Elysée avec les happy few pour la garden party inaugurale du pouvoir mitterrandien. Quand Cuny meurt, en 1994, François Mitterrand se précipite à son chevet - on a prétendu que ce mouvement trahissait l'inquiétude de Mitterrand pour une confession de Cuny in articulo mortis.


Alain Dorison


Alain Flèche


Alain Marville


Alain Robbe-Grillet, pédophile, adepte par ailleurs bien connu du sado-masochisme. Les allusions sont nombreuses dans son "oeuvre" (La Maison de Rendez-vous, etc.) Dénoncé par Pierre Assouline qui, pour une raison inconnue, le haïssait violemment.


Alec Sandra ?


André Baudry. Curé catholique défroqué, pédophile condamné en 1955 pour "outrage aux bonnes mœurs" pour avoir publié dans sa revue Arcadie des textes concernant de jeunes garçons et décrivant des scènes érotiques avec ces garçons. Baudry est condamné à une forte amende parce que la revue "représente un danger pour la jeunesse" (sans blague?) et les numéros publiés sont mis au pilon. L’affaire incite Baudry à la prudence; pour assurer la survie du mouvement et de la revue, les auteurs des articles signent avec des pseudonymes et il entretient des relations relativement cordiales avec la police des mœurs grâce au soutien de François Mitterrand, nommé ministre de l'Intérieur par Pierre Mendès France,  dans le gouvernement formé en juin 1954. Le curé défroqué André Baudry, pédophile condamné, devient "professeur de philosophie" dans l’enseignement privé au lycée Saint-Louis de Gonzagues à Paris. En 1981, il fait campagne pour François Mitterrand. André Baudry est étroitement lié au pédocriminel Edward (Edouard) Brongersma (1911-1998) Sénateur hollandais condamné en 1950 à dix mois de prison, pour avoir eu des relations sexuelles avec un jeune garçon. Il créé la fondation "Dr Edward Brongersma Stichting", base de collection de pornographie infantile. Il est un des fondateurs du réseau Zandvoort et membre du GRED (Groupe de Recherche pour une Enfance Différente), un mouvement pédophile des années 80 SUBVENTIONNE PAR L'ETAT MITTERRANDIEN (!) qui publiait le journal pédophile illustré "Le petit Gredin". Client du réseau CORAL. André Baudry fut professeur de philosophie de Brigitte Macron au lycée Saint-Louis de Gonzagues (alias Lycée Franklin) où il la fit ensuite recruter comme prof de français alors qu’elle n’a pas de CAPES. 


André Fort, ancien évêque d’Orléans, maintenant évêque "honoraire" (!), condamné à 8 mois de prison avec sursis pour avoir couvert les exactions pédocriminelles commises par Pierre de Castelet, curé catholique, finalement condamné à 3 ans d’emprisonnement dont un an avec sursis, et deux ans de mise à l’épreuve avec obligations de soins. 


André Glucksmann


André Le Troquer, pédophile, avocat socialiste, ami de François Mitterrand et dernier président de l'Assemblée nationale sous la sordide IVe République. Allié de Mitterrand dans l'opposition à Charles de Gaulle, Mitterrand et lui s'étaient violemment opposés au Général en mai 1958. L'affreux Edgar Pisani, gendre de Le Troquer, est inscrit au groupe du Rassemblement des gauches républicaines, présidé par François Mitterrand. André Le Troquer est un prévaricateur professionnel, piochant dans les finances publiques, et plaçant les membres de sa famille à des postes clés. Mais Le Troquer est aussi un pervers sexuel qui assouvit sa libido avec des petites filles grâce à Elisabeth Pinajeff, fausse comtesse roumaine professeur de danse (d'où l'expression "ballets roses"), et organisatrice de bordels d'enfants. Le Troquer organisait des orgies sadomasochistes au Palais-Bourbon et transformait le pavillon du Butard, coquet relais de chasse gracieusement mis à la disposition du président de l'Assemblée par la République, en bordel à petites filles où il invitait ses amis, notables socialistes. Le pédocriminel *Frédéric Mitterrand nous apprend que son oncle François Mitterrand et André Le Troquer ne se sont jamais perdus de vues et raconte avec une tendresse répugnante de dégénéré pédophile que tous les deux se vantaient l'un devant l'autre des exploits de leur entre-jambes (in:Frédéric Mitterrand, La Récréation, 2013, p.4). La justice n'a condamné Le Troquer qu'à une peine ridicule, "eu égard à sa fonction prestigieuse au moment des faits" (!) et à "son grand âge" qui excusait certains "égarements" (!!) La presse internationale s'indigna de ce traitement de faveur qui plaçait un criminel au-dessus des lois. C'était en 1959. La femme de Le Troquer, Simone, après une première tentative de suicide en 1937, avait réussi à mettre fin à ses jours en s'aphyxiant au gaz. Cette sinistre crapule de Le Troquer n'en fut pas autrement ému. C'est seulement après l'affaire des ballets roses que Le Troquer, publiant un indigne plaidoyer pro domo, "La Parole est à André Le Troquer" à la maison d'édition fortement et ouvertement pétainiste La Table Ronde, fit semblant de pleurnicher sur la mort de sa femme, en oubliant de dire que ses saloperies l'avaient directe!ent causée, et VINGT-CINQ ans après: bel attendrissement à retardement.


Anne Laborit


Anne Querrien


Audrey Azoulay Créature de Jack Lang. D'une stupidité proverbiale, d'une inculture abyssale, elle sera pistonnée partout: à la Culture sous Hollande,  et - encore plus improbable - à  la tête de l'UNESCO par un Jack Lang président de l’Institut du Monde arabe, qui a tout intérêt à y placer des pions dévolus à sa personne pour des raisons de damage control. Audrey Azoulay qui, au cours de son lamentable ministère, se signala comme l'"autrice" hors normes d'un immense bêtisier, n'a pas manqué de décorer du titre de commandeur des Arts et Lettres, sur la suggestion de son maître, Catherine Ringer, l'actrice porno et chanteuse ringarde (ringerde?) de débilités absurdes et obscènes dans les années 1970 et *Jacques Rancière pour son "oeuvre" inconnue de tous.


Benoît Wargniez, magistrat, pédophile, condamné, révoqué (Réseau NIHOUL). Mitterrandien.


Bernard Alapetite, vétéran pédocriminel de tous les réseaux installés en France sous François Mitterrand. Réseaux CORAL, TORO BRAVO, presbytères de la Nièvre, ZANDVOORT. Né le 2 avril 1951 à Saint-Maur non loin de Paris, Bernard Alapetite est l'un des cinéastes qui a conclu le mariage entre les branches pédo-socialiste et néo-nazi du "Réseau Zandvoort". Il fut, en 1982, l'un des trois cent quarante-trois "artistes" objets de mandats d'arrêt venus abuser des enfants handicapés du lieu de vie "Coral".


Bernard Constantin, magistrat, pédophile, condamné, révoqué. Mitterrandien.


Bernard Dejager


Bernard Dort


Bernard Fritz


Bernard Kouchner, issu de la "bande de Mai 68" et ministre de Mitterrand, puis de Sarkozy. Soutien de Macron. Impliqué dans la Familia Grande (dénoncée avec *Olivier Duhamel par la fille même de Kouchner, Camille Kouchner, victime d'inceste dans son enfance). Signataire de pétitions pédophiles.


Bernard Muldworf


Bernard Preynat, curé catholique, violeur de jeunes scouts, couvert par la hiérarchie catholique (Philippe Barbarin et *Thierry Brac de la Perrière, évêque de Nevers) qui ne le relève pas de ses fonctions sacerdotales et continue à lui abandonner des enfants.


Berner


Bernard Alapetite, ancien de la FANE et du GRECE, Bernard Alapetite est l’un des cinéastes du réseau Zandvoort qui a conclu le mariage entre les branches néo-nazie et pédo-socialiste du régime de François Mitterrand. Il fut, en 1982, l’un des trois cent quarante trois "artistes" objets de mandats d’arrêt, présumé être venu abuser des enfants handicapés du "lieu de vie" Le Coral. Il fut condamné à trois ans de prison ferme pour "recel de corruption de mineurs".


Bertrand Boulin, pédophile associatif "culturel", fils de Robert Boulin qui sera assassiné dans la forêt de Rambouillet après avoir brandi la menace de "dossiers". Mêmes menaces, même situation, même fin que le pédocriminel *Joseph Doucé ou *François Durand, dit "de Grossouvre". La mort au bord de l'étang de Rambouillet est visiblement une signature, donc un avertissement (Boulin, Doucé). Robert Boulin appartenait au Grand Orient de France, comme *Jean-Pierre Soisson et *Jean-Michel Baylet. La maffia germanopratine de la gauche caviar, coextensive aux réseaux pédophiles, a publié des articles et même produit des films (starring le très déplaisant Berléand en Boulin) pour accuser, avec des sous-entendus pesant une tonne, le Service d'Action Civique de Charles Pasqua d'avoir perpétré l'assassinat de Boulin sur l'ordre de Jacques Chirac. Cette thèse n'a jamais tenu la route à aucun point de vue. Même les plus féroces des ennemis politiques de Chirac et Pasqua l'ont niée (à commencer par Giscard). En revanche, on se demande bien pourquoi la gauche caviar de Mitterrand - qui n'a a priori rien à foutre de Boulin - se soucie avec une telle ténacité (bientôt 50 ans!) d'affirmer à travers sa propagande médiatique que la mort de Boulin était un assassinat (elle a été classée comme "suicide") afin de la mettre sur le compte du SAC. Ce procédé ressemble énormément à l'intox du "pull-over rouge" dans l'affaire *Christian Ranucci (assassinat de la petite Rambla), à l'agitation infernale orchestrée par "Marc" (*Serge July) à Bruay-en-Artois (assassinat de la petite Dewèvre) pour brouiller les pistes, et à l'affaire Baudis, montée de toutes pièces par *Karl Zéro" (Marc Telenne). Elle sent le damage control anticipé et la diversion à plein nez. En réalité, le plus probable, compte tenu du contexte, est qu'il s'agit d'un règlement de comptes en interne au sein du GODF qui abritait des réseaux mitterrandiens menacés par Boulin de révélations sur leurs activités pédocriminelles (pour un aperçu, voir entrées "Soisson" et "Baylet"). Une affaire à la "Forces Occultes", film qui, nonobstant l'idéologie du régime de Vichy, n'est pas un portrait inexact de l'activité criminelle des loges dans les années 1970.


Boegner


Caroline Lang, fille de *Jack Lang et de Monique Lang, Senior Vice-President & Managing Director de Warner Bros, administrateur de l'entreprise Biom'up pour Athyrium Capital Management, "black book" du pédocriminel international Jeffrey Epstein qui versait d'importantes sommes à son père Jack Lang juste avant son "suicide" via l'ONG "Gratitude".


Catherine Deudon


Catherine Millet


Catherine Valabrègue


Cathy Bernheim


Chabanne ?  Réseau C.R.I.E.S. (Centre de Recherche et d'Information sur l'Enfance et la Sexualité) et réseau franco-belge des presbytères de la Nièvre


Charismatiques: Parmi les cathos progressistes, un groupe sectaire se détache, celui des "cinglés de Vatican II", les "Charismatiques", un mouvement dont l'instigateur est le pape *Paul VI, sur les frasques homosexuelles de qui les documents abondent littéralement (CIA déclassifiés, OVRA, instruction du scandale de Cloyne, témoignages de Paul Hoffman, Robin Bryans, John Magee, Franco Bellegrandi, Roger Peyrefitte, etc.) Paul VI était en contact avec Mitterrand par le truchement du pédéraste pétainiste Jean Guitton. Les groupuscules charismatiques pratiquent en transe parce qu'ils seraient soi-disant habités du Saint Esprit! Ces agités qui ont copié leurs gesticulations d'aliénés sur les sectes pentecôtistes de Californie des années 1960 sont surreprésentés dans les groupes pédophiles (source: MIVILUDES). Leur base de ralliement, siège de leur "communauté de l'Emmanuel", est Paray-le-Monial, Saône-et-Loire, où l'on entend de bien curieux discours concernant la sexualité qui rejoignent du reste la teneur de la correspondance "d'amour-amitié" entre Jean Guitton et Paul VI où l'on fait allusion à Jésus et saint Pierre, comme s'ils formaient un couple homo (saint Pierre, d'ailleurs, est très souvent cité par les pédocriminels comme Jean Cocteau, Gabriel Matzneff ou Pierre Bergé, et on peut être sûr qu'il ne s'agit pas d'un hasard, mais d'un code: la chapelle des "Esprits" où Trénet organisait ses orgies fut décorée par Cocteau et dédiée à saint Pierre). Les Charismatiques se sont félicités des dernières indécences de Bergoglio dans la "salle Paul VI" où il a invité à banqueter 44 prostitués transsexuels et promis la bénédiction des couples homos. La majorité des charismatiques étaient de tendance mitterrandienne et avaient envahi la Bourgogne et le Berry, leurs deux espaces de prédilection sous Mitterrand. La plupart des bigots ou curés pédophiles cités se rattachent à ce mouvement.


Charles Trénet. Collaborateur irréfutable des Allemands sous l'Occupation, homosexuel de notoriété publique, pédophile trois fois condamné entre 1963 et 1964 (condamné en première instance, confirmé en appel, rejeté en cassation). Trénet est une vedette du Paris sous l’Occupation nazie. Il travaille avec enthousiasme pour Radio-Paris au plus fort de la répression (1943). Très ami avec le docteur Otto Dietrich, responsable cinéma de la Propaganda-Staffel de Paris, et le major Schmidke, chef de la Propaganda-Abteilung qui contrôle l'ensemble des médias français, Charles Trénet participe à pas moins de 5 galas organisés par le haut-commandement de la SS. Alain Laubreaux, nazi convaincu et journaliste à Je suis partout condamné à mort par contumace en 1947 pour faits de collaboration, ne tarit pas d’éloges sur Charles Trénet. Enfin, Charles Trénet se fiance avec la fille de Jean Luchaire, le plus ouvertement pro-nazi des patrons de presse français, mort fusillé le 22 février 1946 pour haute trahison au fort de Châtillon. Par-dessus le marché, Trénet, en plagiaire décomplexé, n’hésite pas à voler des Juifs qui ont fui les Allemands comme Norbert Glanzberg à qui il fauche "Panam, Panam" qui devient… "Padam, Padam". Les légendes négationnistes qui font de Charles Trénet un "résistant" (!) voire une "victime" (!!) de l’Occupation sont parfaitement absurdes et démenties par toutes les preuves disponibles. Elles ont trois causes. Premièrement, la question des droits d’auteur qui, comme dans le cas de Louis-Ferdinand Céline (racheté par Calmann-Lévy) ou Jean Giono, veut qu’on distorde la vérité pour des raisons de profit financier. Deuxièmement, la légende propagée par les collabos comme Corinne Luchaire qui veut qu’on ait persécuté Trénet au motif qu’il serait juif (ridicule: un seul journaliste a déclaré cela, et ses propos ont eu, à l’époque, ZERO audience). On a même prétendu cette absurdité anachronique que Trénet aurait été inquiété par la Milice. Cette thèse parfaitement débile est invraisemblable puisque la Milice n’opère pas en zone nord jusqu’en février 1944, quand les Allemands sont en pleine débandade, et leurs effectifs groupusculaires ont d’autres priorités que de s’occuper d’une vedette du music-hall! Enfin, les réseaux pédophiles mitterrandiens vont chercher à blanchir Trénet à toute force, en priorité les autoproclamés "quatre mousquetaires de Mitterrand": *Pascal Sevran, homosexuel notoire dont Bruno Gaccio a démasqué la pédophilie, le pédocriminel *Pierre Bergé, le pédocriminel *Jack Lang et Georges Kiejman dont on ne sait rien à ce sujet sauf qu’il se déclare à la presse comme "Juif de race, mais Berrichon pour le reste" (tiens, le Berry ? Pour quel reste?) En effet, les seuls ennuis que Charles Trénet a sous l’Occupation sont dus aux inquiétudes de la Propaganda-Staffel face aux bruits d’orgies homosexuelles qu’elle a peur de ne pas pouvoir indéfiniment étouffer. Charles Trénet est convoqué deux fois à ce titre par les autorités allemandes. Il ne répond pas aux convocations, et n’aura aucun ennui. En 1963, Charles Trénet est balancé avec ses "ballets bleus" par Robert Derlin qui lui fait une crise de jalousie parce que Trénet veut le licencier sans le payer (la radinerie de Charles Trénet est proverbiale dans le milieu du show-business de l’époque). Robert Derlin est, depuis l’âge de 15 ans, son rabatteur de jeunes garçons pour son Domaine des Esprits jalonné de statues de très jeunes éphèbes nus dans des poses suggestives. La chapelle des "Esprits" a été décorée par Cocteau dont le rôle dans les réseaux pédérastes du Paris sous l’Occupation est notoire. L’enquête montre que les accusations de Derlin sont fondées. Charles Trénet est incarcéré pendant un mois, condamné en première instance à une amende de 10000 nouveaux francs (soit la somme exorbitante de SEIZE MILLE CINQ CENTS euros) et un an de prison avec sursis, puis re-condamné en appel, et enfin son pourvoi en cassation est rejeté. Pendant son incarcération, Charles de Provenchères, archevêque d’Aix en Provence, lui envoie un harmonium. Rappelons que ce Charles de Provenchères est celui qui s’est réjoui que Vatican II intègre la "libération sexuelle" et qu’il est lié à la fondation de la congrégation des Petites Sœurs de Jésus dont des documentaires américains récents ont montré qu’elle avait abrité dès 1966 des scandales de "religieuses abusées", c’est-à-dire de bonnes sœurs violées. Dans les années 1970, *Guy Hocquenghem, pédophile, propagandiste majeur de la pédophilie au sein du torchon pro-pédophile Libération, lui rend un hommage explicite avec son "Bonsoir Monsieur Trénet". Dès son arrivée à l’Élysée, Mitterrand s’empresse de décerner à Charles Trénet, sous la pression de *Pascal Sevran, *Pierre Bergé et *Jack Lang, la Légion d’honneur qui lui avait été refusée par tous les régimes depuis la Libération. Il sera très vite promu au rang d’Officier par Mitterrand. Le négationnisme touchant la collaboration et les amitiés nazies de Trénet qui a fait fortune sous l’Occupation ou touchant sa pédophilie est absurde, ridicule et abject. Lui-même, avec effronterie, quand il croyait ne rien avoir à redouter des autorités, revendiquait très explicitement sa pédophilie dans la chanson intitulée "Les Pelouses sportives". Voici les paroles, qui ne laissent aucun doute planer : « J'AI RETROUVÉ L'ODEUR DES PELOUSES SPORTIVES [la métaphore sexuelle de la "pelouse" est sans équivoque ici] OÙ PERCHEZ-VOUS GARÇONS QUI SAUTEZ À LA PERCHE DANS LES STADES DU BOIS, SUR LES RIVES DU CIEL RENTREZ AVANT LA NUIT VOS PARENTS VOUS RECHERCHENT [= il s'agit donc, explicitement, de mineurs] JE N'Y TROUVERAI PAS QUE CES PELOUSES VERTES ["vertes" = infantiles] MAIS LES BOUCHES D'AVRIL ET LES PASSIONS OFFERTES [!!!] OÙ L'OMBRE DE LA NUIT ABRITAIT DE SON AILE LES RÊVES, LES DÉSIRS [...] QUE POSSÈDENT ENCORE LES FOUS ET... LES ENFANTS [!!]" Le répertoire de Charles Trénet a été repris par les Petits Chanteurs à la Croix de Bois - nous ne croyons pas à un hasard (voir *Fernand Maillet), et il serait sans doute salutaire de tenir à l'oeil les organisateurs de la manécanterie.


Christian Bourgois


Christian Girard, procureur au TGI de Châteauroux en 1994 - Affaire Beyer : a permis au pédophile Beyer de ne pas être condamné malgré les viols commis sur son fils en refusant de le poursuivre. La plainte a été classée sans suite. - Affaire du Var : a classé sans suite les plaintes pour viol en réunion contre les enfants, 15 jours après le dépôt de la plainte. - Affaire Léon et Lucas : a classé sans suite la plainte pour agressions sexuelles contre Léon alors que plusieurs certificats les étayaient. - Affaire Pierre : a classé sans suite la plainte pour agressions sexuelles et maltraitances, malgré divers certificats médiaux et sans enquête. - Affaire Charlotte : enfant de 4 ans arrachée à sa mère, placée en garde à vue pour avoir tenté de protéger sa fille, et forcée de rester avec son père violent.  - Affaire des trois enfants égorgés en Seine-et-Marne en février 2013. Mère internée d’office, affaire étouffée.


Christian Hennion


Christian Maurel


Christian Revon


Christiane Rochefort, "écrivaine" sans talent, déjà oubliée de son vivant, ressortissante de l'engeance germanopratine, signataire de toutes les pétitions et tribunes en faveur de la décriminalisation des violeurs d'enfants dans les années 70-80.


Christine Bucy ? Signataire de tribunes pour la légalisation de la pédocriminalité


Christian Ranucci, violeur et assassin d'enfants. Condamné à mort et guillotiné sous Valéry Giscard d'Estaing. Sa culpabilité ne fait aucun doute. C'est lui-même qui a mené les policiers à l'endroit où il avait enterré la petite Rambla. Des pédophiles mitterrandiens ont voulu créer une légende absurde, sans aucune preuve sérieuse à décharge, à partir d'un soi-disant "pullover rouge". Boosté par des médias partisans, le livre éponyme connut des ventes records. Cette fiction débile l'emportera dans l'imaginaire de la populace sur la vérité, pourtant claire, comme beaucoup de bouteillons lancés par Mitterrand (l'homme du faux attentat de l'Observatoire!) contre le gouvernement Giscard (la fausse affaire des bijoux de Bokassa, la fausse affaire des avions renifleurs, la fausse affaire du Figaro Magazine - qui d'ailleurs implique de faux néo-nazis des services - ceux de la FANE - qu'on retrouve dans les réseaux de pédophiles mitterrandiens de *Michel Caignet protégés par le pouvoir mitterrandien).


Christine Gouze-Renal, en réalité Madeleine Gouze (1914-2002), soeur de *Danielle Gouze, femme Mitterrand. Connue comme productrice de cinéma sous le nom de Christine Gouze-Rénal, belle-sœur de *François Mitterrand, comme Danielle Gouze, très impliquée dans les réseaux pédophiles. Elle commence par produire le film pédophile (on disait pédéraste, à l'époque) "Les Amitiés particulières", adapté du livre pédophile éponyme de *Roger Peyrefitte. A l'occasion de la sortie du film (interdit aux moins de 21 ans), en novembre 1964, Peyrefitte est célébré dans le banquet du 10e anniversaire de la revue pédophile "Arcadie" dont il est l’invité d’honneur. Arcadie est l'organe pédophile du mouvement pédophile Arcadie, tous deux fondés par le curé catholique défroqué *André Baudry, pédophile condamné en 1955 pour "outrage aux bonnes mœurs" après avoir publié des textes concernant de jeunes garçons et décrivant des scènes érotiques avec ces garçons. Baudry est condamné à une forte amende parce que la revue "représente un danger pour la jeunesse" (sans blague?) et les numéros publiés sont mis au pilon. L’affaire incite Baudry à la prudence; pour assurer la survie du mouvement et de la revue, les auteurs des articles signent avec des pseudonymes et il entretient des relations relativement cordiales avec la police des mœurs grâce au soutien de François Mitterrand, nommé ministre de l'Intérieur par Pierre Mendès France, dans le gouvernement formé en juin 1954. Ce sont les mêmes qui protègeront André Le Troquer, ministre anti-gaulliste de la Quatrième République et organisateur, avec une fausse comtesse russe, de "ballets roses" (de bordels à petites filles). Le curé défroqué André Baudry, pédophile condamné, deviendra "professeur de philosophie" dans l’enseignement privé au lycée Saint-Louis de Gonzagues à Paris. En 1981, il fait campagne pour François Mitterrand. Lors de la sortie du film pédophile produit par Christine Gouze-Rénal, Mitterrand assistait à la première. Il était alors député et conseiller général de la Nièvre et venait de publier contre de Gaulle son pamphlet merdeux: "Le Coup d’Etat permanent", un titre qui conviendra surtout aux années 1981-1995.


Christophe Girard, l’homme-lige de l’empire Bergé, devenu l’incontournable adjoint à la Culture de Delanoë à la mairie de Paris, et maire du IVe arrondissement, après avoir été un fidèle parmi les fidèles de Pierre Bergé. Dès la prise de ses fonctions politiques, Christophe Girard mit tout en oeuvre pour que Gabriel Matzneff obtienne une aide publique, jusqu’à la fin de son existence, sans conditions, pour qu’il poursuive son activité d’écrivain pédocriminel. Ce que l’on sait, c’est que Girard a tout fait pour garder sa place (une place très confortable qui lui permettait aussi de nettoyer, de faire le ménage, de liquider des indices sur des faits passés, de chasser les curieux, d’avoir une oreille alerte sur les menaces qui viennent etc.) Le scandale Griveaux, déclenché par le très équivoque Juan Branco, apparaît plus ou moins comme un contre-feu destiné à faire oublier ses propres casseroles. Mais alors que Girard se réinstallait dans ses bureaux parisiens, deux nouveaux articles estivaux publiés dans le New York Times le pulvérisèrent, le second accusant carrément l’énergumène de multiples violences sexuelles commises contre un mineur de 15 ans.


Claire Gellman


Claude Bardos


Claude Dunand, "Affaire du pavillon d’Appoigny" et des disparues de l’Yonne. Organisateur de caves pédo-satanistes, avec viols, tortures et meurtres pendant 20 ans. Protégé par le pouvoir mitterrandien. Pierre Arpaillange, ministre de François Mitterrand, et Jean-Pierre Soisson, ministre de François Mitterrand, sont impliqués. Les réseaux sont les mêmes que ceux d'*Emile Louis. Claude Dunand, arrivé dans l'Yonne en 1979, a travaillé dans la même compagnie d'autocars qu'Emile Louis. Ils prenaient des verres dans le même bistrot, à l'occasion. Mais, ils ne se connaissaient pas, nous dit-on. Comme Emile Louis, on nous dit aussi que Dunand était un prédateur isolé. Sauf que les soutiens incroyables qu'il a reçus vu son passif montrent qu'il n'en est rien. "J'arrive pas à te vendre, t'es trop chère, tu finiras comme les autres, tu mangeras les pissenlits par la racine", disait Dunand à Huguette. Une troisième victime de Dunand n'a pas pu aller au procès parce qu'elle a été renversée par un véhicule juste avant. Elle est morte empoisonnée en 1998. Il est arrêté avec sa femme en 1983 et alors qu'il attend son procès, il est hébergé par la Fraternité Notre Dame. Il faut dire que Dunand a versé 90.000F à cette Fraternité. Peut-être pour se racheter des tortures infligées pendant plusieurs mois à ses victimes? C'est *Georges Fritsch qui touche le chèque, et Fritsch est proche de Jean-Pierre Soisson. Il est aussi intervenu auprès du ministre de la Justice *Pierre Arpaillange pour obtenir à la fois la libération de Dunand, et un peu d'argent (200.000F tout de même), et cela en se recommandant de la part de Soisson. D'ailleurs, Soisson, maire d'Auxerre de 1971 à 1998, est également intervenu auprès d'Arpaillange en faveur de Dunand. Ca a marché, puisque soudain on a vu un vice de forme dans la procédure et Dunand a obtenu sa libération provisoire en janvier 1990 (moins de deux mois après les interventions de ses amis), dans l'attente du procès à la fin de l'année suivante. Et Fritsch a eu le pognon. Est-ce que ce sont les réseaux franc-maçons? Soisson était membre de la loge phare Demain, président de l'un des plus influents cercles maçonniques, le Carrefour de l'amitié", nous dit L'Express. Deux jours après sa libération, on propose à Dunand une fausse identité et des billets d'avion pour le Sénégal, où il avait passé quatre ans en tant que cadre commercial. Il est resté en France, pensant probablement être acquitté. Il n'a d'ailleurs dénoncé personne et il n'a cessé de mentir, pour passer pour un dingue isolé. Fin 1991, il est condamné à la prison à perpète, mais sans peine de sûreté. En 2001, il est libéré après quinze ans de prison (préventive comprise), ce qui est extrêmement rapide. Sa femme, Monique, est morte entre-temps en tombant dans les escaliers un an après sa libération, en 1996. Elle ne pourra plus le contredire quand il l'accuse de l'avoir dévoyé et entraîné dans les tortures et le meurtre de victimes. Jean-Yves Liénard, l'avocat de Dunand, avait déclaré au Monde : « Nous avions tous eu l'impression qu'il y avait une partie cachée, des corps qu'on n'a pas retrouvés. Il est absolument impossible, quand on voit l'état de ces deux jeunes filles, à la limite de la mort, qu'il n'y en ait pas eu d'autres. Dunand a déménagé quinze fois, l'affaire a fait du bruit, mais personne ne s'est manifesté. C'est un mystère absolu .» Parmi la cinquantaine de clients, il y avait "des gens importants" a expliqué Dunand à la presse locale, "surtout des parisiens et quelques lyonnais": chefs d'entreprise, médecins, hommes politiques (dont un ancien ministre reconnu par les victimes), des magistrats. Bref, la clique habituelle. Georges Ethievant serait le client qui a fait rentrer Dunand et sa femme dans le sado maso. Il est mort juste avant le procès, en 1990. Paul Lefort , autre client cité publiquement, a reconnu les faits mais il est mort en 1994. Le troisième client connu, Joseph Quiock, ingénieur au centre de formation de la Marine Nationale, a pu donner des alibis, paraît-il. Un autre client, cité par Eric Raynaud, serait Christian Grima, directeur d'un supermarché d'Auxerre, "condamné à six mois de prison ferme pour viols et tortures". Il aurait tué sa femme avant de se suicider lorsque de Dunand a été libéré, en 2001. Raynaud cite encore un haut fonctionnaire du ministère des Finances, deux patrons nationaux de concessions automobiles, un certain Michel, directeur de l'hôpital psychiatrique d'Auxerre.


Claude Lévêque, pédophile auteur de multiples viols sur des enfants, réseau des soi-disant "artistes" contemporains de la Nièvre, soutenu par l’APAC, le Centre d’Art Contemporain de Nevers (Bernard Delosme, Michel Philippart, etc.) Vit entre sa propriété de Raveau, dans la Nièvre, et le 6e arrondissement de Paris (maffia germanopratine de gauche caviar mitterrandienne). La Nièvre, fief de François Mitterrand pendant un demi-siècle. La Nièvre, toujours.


Claude Revault d'Allonnes, pro-pédophile, signataire de pétitions pédophiles, belle-mère de Myriam Revault d'Allonnes, prof de philo à Science Porcs, présidente du Cercle des Amis de Paul Ricoeur, philosophe aux moeurs louches et au passé nettement pétainiste, qui s'intéresse étrangement au jeune *Macron. Celui-ci apparaît sur des photos aux côtés de Ricoeur comme un giton, permanenté comme un caniche et décoloré en blonde. Il n'est pas envisageable que l'intérêt de Ricoeur pour Macron, fasciné par les manifestes pédophiles de Gide et Tournier, ait été d'ordre philosophique étant donné la faible intelligence du futur "président" recalé deux fois à l'ENS, et qui a obtenu d'entrer à l'ENA grâce au pédophile mitterrandien Jean-Marc Borello, bien qu'il ait été incapable de répondre aux questions des examinateurs. Il est d'ailleurs très intéressant que Myriam Revault d'Allonnes ait, face aux bobards de "Manu" concernant une "collaboration universitaire Ricoeur-Macron", pris publiquement la parole dans la presse de gauche caviar pour contester tout échange d'ordre intellectuel entre Ricoeur et Macron. C'est donc que l'échange était bien d'une autre nature.


Claude Sigala, Réseau CORAL (adoubé par François Mitterrand, financé par le *CRÉDIT AGRICOLE)


Copi, pédophile, desssinateur protégé par Pierre Bergé dès 1964.


CRÉDIT AGRICOLE On retrouve un peu trop souvent la mention du Crédit Agricole dans certains soutiens financiers sans contrepartie. Ce mécénat insolite de la part de banquiers qui, les paysans le savent bien, sont tout sauf des philanthropes, laisse perplexe. Il est à souligner que les réseaux affectionnent les zones rurales, à l'écart des grands axes de circulation, c'est particulièrement frappant dans le réseau des caves / presbytères de la Nièvre. On peut donc envisager une symbiose logique, mais elle ne peut se faire spontanément et réclame des connivences au plus haut niveau.


Daniel Cohn-Bendit, pédophile, issu de la répugnante "bande de Mai 68" et soutien de Mitterrand, puis de Sarkozy, puis de Macron (cursus standard). En mai 68, Daniel Cohn-Bendit est importé de Francfort et véhiculé à travers tout Paris pour donner des conférences de presse par le patron de Match, pétainiste impénitent - comme François Mitterrand -, qui hait - pour les mêmes raisons que Mitterrand - le général de Gaulle. Voir l'excellente analyse de Morgan Sportès, "Mai 68 : vichystes et atlantistes surfaient sur la révolte libertaire. Mai 68 a d’abord servi à liquider le PC et le gaullisme." Le rôle de la CIA est ici à examiner, comme dans le cas de *Pierre Arpaillange. Cohn-Bendit, comme le pédophile mitterrandien *Jean-Marc Borello, comme le pédophile mitterrandien *Olivier Duhamel, comme le pédophile mitterrandien *Jack Lang, appartient au cercle intime des Macron-Trogneux.


Daniel Guérin


Danielle Mitterrand, femme de François Mitterrand, présidente de l’association "France Liberté" attachée au réseau pédophile du C.R.I.E.S. (Centre de Recherche et d'Information sur l'Enfance et la Sexualité) 


Danielle Sallenave


David Berg, Secte charismatiqUE "Les enfants de Dieu" approuvée par le clergé catholique. Quatorze victimes.


Dennis Altman


Dionys Mascolo


Dominique Desanti


Dominique Lecourt


Elisabeth Guigou, née à Marrakech. Issue de la direction du Trésor, elle est introduite auprès de *François Mitterrand par *Hubert Védrine, très proche de Guigou depuis l'ENA. Mitterrand la propulse sur le devant de la scène. Devenue la pouliche et créature de François Mitterrand, elle est placée en tête de liste des régionales de 1992 en Provence-Alpes-Côte d'Azur avec Bernard Tapie. Garde des Sceaux, elle accorde sa priorité à "l’organisation du suivi social et judiciaire des délinquants sexuels" (tactique classique: anticiper pour étouffer). Collaboratrice de *Dominique Strauss-Kahn, pervers depuis condamné pour viol d'une femme de chambre afro-américaine, elle a étouffé sur ordre l’affaire du réseau ZANDVOORT en "perdant" les CD-ROMs où figurent 472 mineurs et leurs bourreaux, ainsi que l’affaire des charniers d'enfants de la région parisienne maladroitement dévoilée par Martine Bouillon, substitut du procureur de Bobigny, sur un plateau de télévision. En décembre 2020, Guigou est placée par Macron à la tête de la "Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants" (toujours la même tactique grossière et éculée: se placer à la protection de l'enfance afin d'anticiper sur les problèmes et de les étouffer dans l'oeuf - voire *Nicole Belloubet). Elle est obligée d’en démissionner en catastrophe le 13 janvier 2021, quand son ami intime *Olivier Duhamel, est accusé d'inceste et de pédophilie. Le traitement de l'affaire Zandvoort qui aura marqué le passage de Guigou place Vendôme finira par attirer l'attention de l'Oganisation des Nations Unies qui enverra en France un rapporteur spécial, Jean Miguel Petit. Dans ses conclusions rendues en avril 2004, ce dernier s'étonnera de la manière surprenante dont le Tribunal de Grande Instance de Paris a traité l'affaire Zandvoort. Jean Miguel Petit demandait que ces documents soient transmis à Interpol. La France n'a toujours pas accédé à cette demande. Macron voudra promouvoir Guigou, agent des réseaux pédocriminels au Conseil Supérieur de la Magistrature en même temps qu'il bombarde ministre de la Justice *Dupont-Moretti, l'avocat des réseaux pédocriminels. 


Emile Leblond, curé catholique de Pont-Saint-Pierre (Eure), condamné à huit ans de prison par la cour d’assises du Calvados pour viol sur mineur.


Émile Louis, dit « le boucher de l'Yonne », né le 26 janvier 1934 à Auxerre (Yonne) et mort le 20 octobre 2013 à Nancy (Meurthe-et-Moselle), est un tueur en série français. Il est au centre de l'affaire des disparues de l'Yonne. Il viole, torture et assassine au moins sept jeunes filles handicapées dans les années 1970 dans l'Yonne. En 1980, le gendarme Christian Jambert est chargé de l'enquête de « l'affaire des disparues de l'Yonne ». Sept viols et assassinats ont été commis à Auxerre et aux environs entre 1975 et 1979 sur des jeunes filles de la DDASS déficientes mentales légères âgées de 16 à 22 ans. Christian Jambert adresse au parquet d'Auxerre un rapport qui met en cause Émile Louis et des réseaux proxénètes sadomasochistes de l'Yonne qui exploitent les filles de la DDASS. En février 1984, l'affaire concernant le meurtre de Sylviane Lesage se solde par un non-lieu, malgré le rapport de Christian Jambert (lui aussi enfant de la DDASS) qui montre les liens intimes qu'elle entretenait avec Émile Louis. De fait, ce non-lieu entraîne le classement sans suite de l'enquête sur les disparues de l'Yonne, alors que toutes étaient en relation avec le chauffeur de la DDASS. Le 29 mars 1984, sous les bons auspices de la Mitterrandie triomphante, Émile Louis est libéré. En 1984, il s'installe dans un camping à Draguignan, dans le Var, après avoir purgé une peine de quatre ans d'emprisonnement pour attouchements sur mineur. Il y trouve un emploi dans une entreprise de pompes funèbres. Jambert continue l'enquête. Il découvre la participation d'un ministre de Mitterrand à des séances de tortures et de viol, et il est assassiné. Un ex-directeur de l'APAJH d'Auxerre est impliqué en 1989, Pierre Charrier, ex-directeur et fondateur de l'Association pour adultes et jeunes handicapés (APAJH) de l'Yonne à Auxerre est pris en flagrant délit à l'arrière d'une voiture en compagnie d'une jeune fille handicapée de 22 ans qu'il agresse sexuellement. Il explique qu'il aurait ainsi permis à la jeune femme de « s'épanouir affectivement ». Charrier est un proche d'Émile Louis. Il est condamné à six ans de prison ferme. De manière générale toute la vie d'Émile Louis est liée à la DDASS, devenue Aide sociale à l'enfance (ASE) : enfant de la DDASS, famille d'accueil de la DDASS, employé par des établissements sous tutelle de la DDASS, il aura fait de la protection de l'enfance son terrain de chasse. Le parquet d'Auxerre, complètement corrompu, a tout fait pour étouffer l'affaire des disparues de l'Yonne, rendre l'enquête impossible et protéger les réseaux pédo-satanistes locaux.


Emmanuel Pierrat, franc-maçon, avocat spécialisé dans la propriété intellectuelle, écrivassier sans talent, a fait l'objet d'une enquête pour harcèlement de ses employées. Admirateur déclaré de Sade et pro-pédophile acharné, il est ami avec *Eric Dupont-Moretti, *Pierre Bergé, *Yves Saint-Laurent, *Jack Lang, *Frédéric Mitterand, et *Gabriel Matzneff dont il est le coauteur pour un essai intitulé Le Symbolisme du Phallus. Pierrat défendit également comme avocat la photographe Irina Ionesco, qui photographia durant des années sa petite fille Eva: dès l'age de quatre ans, elle posait nue ou vêtue seulement de dessous pornographiques d'habitude reservés aux prostituées, et devint à cause de sa mère une icone du milieu pédocriminel. Comme l'ont montré les magazines soi-disant "littéraires", en réalité des torchons de la mafia germanopratine composée de dégénérés de la gauche caviar, Matzneff a décoré son petit salon avec un de ces clichés: Eva Ionesco a environ dix ans, elle pose nue, debout en porte-jaretelles, jambes écartées. Irina Ionesco, une "vraie" artiste "contre-culturelle" (on l'aura compris), avait pour habitude de "prêter" sa fille à d'autres photographes, dont *Michel Caignet, et la petite Eva tourna dans des productions filmées à caractère pornographique, comme Spermula (si le nom ne vous suggère rien de mal, vous pouvez vous tirer une balle direct). Eva Ionesco figura, à onze ans, dans le film du violeur pédocriminel Roman Polanski "Le Locataire". La petite Eva Ionesco fut finalement retirée à sa mère Irina Ionesco, et confiée à la DDASS. Elle tomba la drogue et devint une junkie. Plus tard, un procès s'ensuivit et Emmanuel Pierrat, comme il se doit, défendit la maman maquerelle de sa petite fille. Emmanuel Pierrat est un professionnel des réseaux pédocriminels. Il s'est de nombreuses fois illustré dans la distorsion des faits les mieux établis, par exemple concernant Outreau, ou encore en cherchant à exonérer *Charles Trénet, dans un bouquin sans valeur - comme tous ceux de Pierrat (mais qui, franc-maçonnerie et réseaux pédos oblige, trouve toujours preneur aus sein de la mafia germanopratine) -: "Stars à la barre" (Hugo, 2019). Le traitement de l'homosexuel pédophile et vedette du Paris nazi Charles Trénet est éloquent dans le bouquin nullissime de Pierrat "Stars à la barre", saturé de références volontairement approximatives, où l'avocat véreux montre sa totale absence d'intégrité (Pierrat écrit "Delin" au lieu de "Derlin", parle de "non-lieu" de façon parfaitement mensongère alors que Charles Trénet a D'ABORD été condamné en première instance, PUIS re-condamné en appel et ENFIN que son pourvoi en cassation a été rejeté, Pierrat déclare qu'il ne s'agissait que d'homosexualité alors que Derlin, qui jouait le rôle de rabatteur de garçons, était "un mineur de 15 ans" au début de sa relation avec Trénet (le Code pénal punit les faits de cinq ans d'emprisonnement) au début de sa relation avec Trénet, et l'exonère de toute pédophilie, alors que Trénet avoue franchement être pédophile dans "Les Pelouses sportives", etc.) Pierrat est donc un personnage plus que suspect et un menteur effronté (on me dira: c'est la profession d'un avocat - peut-être, mais tous heureusement ne sont pas francs-macs, sadistes et pédophiles; tous n'ont pas non plus une réputation de harceleur persécutant leurs employées). Voilà qui est Pierrat. Si vous n'avez toujours pas compris...


Eric Dupont-Moretti, avocat spécialisé dans la défense des pédophiles, l'intimidation des enfants victimes des pédophiles, et l'étouffement des affaires. Il a décroché son titre d'infamie avec Outreau où on lui a collé l'étiquette débile d'Aquittator ("Acquitte-à-tort"), parce qu'il s'est montré capable de faire acquitter des accusés en toute justice inacquittables. Complètement pourri, il a été nommé ministre de la Justice (!) par Macron dont les lectures préférées, à l'âge de 12 ans, étaient selon ses propres dires les pédophiles André Gide et *Michel Tournier. Cette nomination effarante a semé le trouble dans le Landerneau judiciaire. Inquiété par toutes sortes de procédures, Ducon-Moretti s'est arrangé pour faire interdire l'association française de lutte contre la corruption Anticor, elle-même du reste entièrement noyautée par la franc-maçonnerie, donc corrompue.


Eric Miné, ancien du PFN, de la FANE et militant de l’Œuvre française. Soutien de Marine Le Pen, élu (FN/RBM). Proche de Renaud Camus. Conseiller consulaire de Thaïlande-Birmanie pour la mandature 2014-2020. Auteur de romans pédérastes, il écrit également pour le site Boulevard Voltaire de l’agent de la CIA et maire de Béziers Robert Ménard. 


Fadellala Azzouz Belgacem ?


Fanny Deleuze


Félix Guattari


Fernand Maillet, fondateur de la "manécanterie" des "petits chanteurs à la croix de bois". Fernand Maillet a d’abord été lui-même un maître-chanteur à la croix de fer. Il connaît bien *François Mitterrand depuis l’Occupation allemande où ils étaient tous les deux collaborationnistes ; ce sont deux récipiendaires de la francisque, la plus haute distinction du régime de collaboration avec les nazis. Maillet et Mitterrand ont été décorés par Pétain en personne. En 1959, Mitterrand est député de la Nièvre depuis 13 ans (1946). Fernand Maillet va donc consulter son ami François Mitterrand, bien connu des réseaux pédophiles qu’il a commencé à abriter sur ses terres nivernaises, pour organiser des partouzes avec des "petits chanteurs à la croix de bois". Mitterrand lui indique un bordel à enfants qui sert pour de soi-disant "colonies de vacances" : celui de La Chapelle-Saint-André où l’on tourne des films de pornographie infantile (pédopornographie). Malheureusement, nous sommes encore sous de Gaulle. Il y a une police des mœurs, la brigade mondaine, et elle est efficace dans la traque et la répression des ordures pédophiles (Mitterrand s’empressera de supprimer la mondaine dès son élection en 1981). Les deux criminels à qui Maillet a délégué l’organisation du bordel pédophile sont arrêtés. C’est l’affaire des "ballets bleus" qui éclate le 24 février 1959. Les deux organisateurs, le maquereau pédophile et le cinéaste pédophile, écopent de lourdes peines, mais Maillet, l’instigateur, quoique arrêté, est finalement relâché. Marty, l’archevêque de Paris a intercédé auprès de de Gaulle et, d’après les témoins, l’embobine pendant quatre heures, présentant Maillet comme la victime d’un complot destiné à salir une belle œuvre innocente, etc. De Gaulle finit par croire à la conspiration et se laisse convaincre de l’innocence de Maillet pourtant clairement accusé par ses complices, mais aussi par des choristes. Il intervient pour qu’on laisse Maillet tranquille à la condition qu’il se démette de toute charge concernant des enfants (preuve qu’il conserve un doute). L’abbé Delsinne reprend les petits chanteurs à la croix de bois, et Maillet disparaît de la circulation. Le 20 février 1963, Maillet crève d’un infarctus à Paris. Mais *Roger Peyrefitte, lui-même homosexuel et pédophile, lâche le morceau d’abord à demi-mots dans Des Français, en 1970, puis nommément dans Propos secrets, en 1977, pensant que le temps écoulé et la proximité probable de sa propre mort le mettent à l’abri des poursuites ou d’un meurtre. D’autres homosexuels, pédophiles, ex-choristes de la manécanterie des petits chanteurs à la croix de bois viendront par la suite confirmer le rôle joué par Fernand Maillet (Michel Larivière, etc.) [https://www.lemonde.fr/archives/article/1959/02/24/arretes-a-paris-les-trois-inculpes-ont-ete-transferes-a-la-prison-de-nevers_2157851_1819218.html]


Festival d'Avignon Rendez-vous des pédocriminels "artistiques" de la mitterrandie pourrie. Cette grande manifestation bordélique qui oscille entre le débile et le répugnant siphonne un budget monstrueux chaque année depuis 1981, grâce à *Jack Lang. Les bobos décadents s'y pressent, mais les gens normaux - qui ne la fréquentent évidemment pas - ne suspectaient pas sa nature profonde jusqu'à la publication sur les réseaux sociaux de la fameuse affiche de 2022 représentant des petites filles nues (un drôle de phénomène s'est produit à cette occasion: d'abord, avec leur effronterie habituelle, les organisateurs ont répondu avec morgue: "Oui, ce sont des petites filles nues, et alors?" Puis, devant une indignation massive et qui prenait une tournure dangereuse, le discours a prudemment muté en une négation de l'évidence, mais en conservant sa touche de mépris social typique des intouchables dégénérés germanopratins, et la réponse est devenue: "Vous êtes conspirationnistes, où voyez-vous des petites filles?") Ce que les réseaux sociaux ont fait connaître à la population française n'est cependant pas nouveau: il est bien connu que le Festival d'Avignon est un haut lieu, revendiqué, de la pédophilie mitterrandienne depuis 1968. Dès cette époque, Avignon, municipalité tenue par un vieux mitterrandien, naturellement anti-gaulliste, accueille les CEMÉA (Centres d'entraînement aux méthodes d'éducation active), mouvement "d’éducation nouvelle" et "association française d’éducation populaire", qui dans les années 1980, sera reconnue d’utilité publique (c'est-à-dire siphon à subventions). Les CEMÉA "interviennent principalement dans le domaine de l’éducation, de l’animation, de la santé et de l’action sociale". De quelle manière? Notamment en "bris[ant] les préjugés sur les conséquences des contacts et relations sexuels entre mineurs et adultes"! La subversion décisive du festival d'Avignon, initialement créé dans une bonne intention par Jean Vilar (faire connaître aux classes populaires le théâtre classique), se produit en 1968 sous l'influence de Julian Beck, un Américain bisexuel et pédophile qui vit dans la débauche, s'adonne selon ses propres termes, au "satanisme" (sic), et fait triompher la notion de "spectacle vivant" (l'expression vient de lui) sous la forme de partouzes publiques dans les rues d'Avignon où les hippies tarés de sa secte cassent tout et agressent les gens. Pour Julian Beck, organiser des "diableries" (mot-clé des pédos) dans les églises d'Avignon est une priorité "parce qu'il faut montrer que Satan mène le bal dans la ville des papes" (sic). Il est aussitôt suivi par d'autres pervers, partisans de "living theater", c'est-à-dire de "spectacles vivants", comme Gérard Gelas qui cherche à monter "La Paillasse aux seins nus", censurée par le préfet du Gard le 18 juillet 1968. Pour son entrée en fonction en 1981, François Mitterrand, qui a déjà nommé à la "Culture" *Jack Lang, n'a rien de plus pressé que de se rendre au festival d'Avignon par vol spécial afin d'indiquer aux pédophiles que c'est arrivé.


Francis Evrard


Francis Ponge


François Châtelet


François Durand, dit "de Grossouvre" (Grossouvre, 3e circonscription du département du Cher, frange limitrophe de la Nièvre). Né le 29 mars 1918 à Vienne (Isère) et mort assassiné le 7 avril 1994 à Paris, est un industriel et haut fonctionnaire de la Mitterrandie. A partir des années 1970, il est propriétaire (actionnaire majoritaire) du *Journal du Centre, le quotidien régional arrosant de sa propagande les départements de la Nièvre et du Cher. En mai 1991, dans l’ancien quotidien belge Le Peuple, l’inspecteur "effaceur" des Renseignements Généraux Jean-Marc Dufourg révèle dans un entretien que François Durand, dit "de Grossouvre", industriel intime de Mitterrand est, avec l'horrible Pierre Bergé, autre intime et soutien financier de Mitterrand, très gravement compromis dans les réseaux de violeurs pédocriminels de la Mitterrandie. A la question du journaliste du Peuple: "Vous confirmez qu’il est de notoriété publique dans les "services" que l’industriel F.D., le conseiller occulte P.B. faisaient et font encore usage de ces réseaux pédophiles en compagnie de Ministres?",  Dufourg répond: "Oui, mais ceux-ci sont hyper protégés pour des raisons claniques par le Pouvoir. Leurs noms n’apparaissent pas." Jean-Paul Cruse, de son côté, révèle que le ministre de la Justice impliqué, *Pierre Arpaillange, "proche des réseaux parisiens la CIA", est un consommateur et qu'il a favorisé la promotion éclair et injustifiée d'un nombre important de jeunes magistrats ayant les mêmes vices que lui.


François Lefort des Ylouses, curé catholique pédocriminel, médecin, figure du soi-disant "humanitaire" de la Françafrique de François Mitterrand. Très médiatisé dans les années Mitterrand, se prônant "dénonciateur" des réseaux pédophiles, il est condamné en 2005 à huit ans de prison pour tentatives de corruption, agressions sexuelles et viols sur six enfants sénégalais.


François Opter, réseau d’importation d’enfants marocains (Marrakech, encore!)


François Régnault


François Superi, directeur de "Cheval pour Tous", violeur d’adolescents en difficulté, condamné à 12 ans de réclusion criminelle par la cour d´assises du Haut-Rhin pour des viols et agressions sexuelles répétés sur sept de ses jeunes pensionnaires. Satellite de la Mitterrandie.


François Vérove, dit le "tueur au visage grêlé" ou plus simplement "le Grêlé", né le 22 janvier 1962 à Gravelines et mort le 29 septembre 2021 au Grau-du-Roi, est un violeur sadique de petites filles et de très jeunes filles, tortionnaire et tueur en série. Gendarme puis policier, ses carrières professionnelle ET criminelle correspondent EXACTEMENT aux septennats de Mitterrand: 1982-1995. Mitterrand est élu en 1981, Vérove commence 1/sa carrière, 2/ses crimes en 1982. En 1995, Mitterrand n'est plus président, et c'est là, pile! que s'arrêtent les crimes de Vérove dont le dernier est le viol d'Ingrid, 11 ans, à Mitry-Mory (Seine-et-Marne). Etonnant, non? Récapitulons. Actif durant les années 1980 et les années 1990 en région parisienne, Vérove intègre de 1983 à 1988 la Gendarmerie nationale comme cavalier au sein de la Garde Républicaine. Il poursuit sa carrière comme flic au sein de la Police nationale, notamment à la préfecture de police de Paris. Avec quels appuis? Vingt ans de crimes sadiques perpétrés du sein même des forces de l'ordre, et JAMAIS un soupçon, malgré la sale gueule très identifiable de Vérove dont les portraits-robots étaient affichés dans toutes les gendarmeries, dans tous les commissariats? De qui se moque-t-on?


François-Xavier Tanyères


Françoise d’Eaubonne


Françoise Dolto


Guilaine Depis, pécore arriviste qui se présente comme "attachée de presse littéraire". En réalité, elle plume des pigeons pour financer son train de vie, et n'a réellement qu'une promotion en tête: la sienne propre, à laquelle elle passe le plus clair de son temps. Le chef de la rubrique littéraire de Libération a consacré un éditorial entier à se foutre d'elle, de sa sottise et de son manque de professionnalisme - elle le brandit fièrement comme un gage de succès sur son site intitulé "Balustrade" (non, ce n'est pas une blague: elle est complètement con). Mais sa véritable activité est ailleurs. Introduite dans la maffia germanopratine par les réseaux des vieux pédophiles de la Nouvelle Droite, Guilaine Depis est très active comme chienne de garde de ses maîtres pédos, et un agent de diversion des réseaux. Etroitement compromise avec *Gabriel Matzneff, *Emmanuel Pierrat, etc., elle appelle de la "cancel culture" (!) la lutte contre les pédophiles comme Matzneff qui se vante de violer des petits Philippins de huit ans, joue sur Internet les harpies enragées pour défendre ses maîtres, notamment contre leurs victimes - comme Francesca Gee - et a même fondé en contre-feu anticipé une association de diversion pro-Matzneff qui prétend vouloir protéger les enfants, "SOS Violenfance", dont Kathya de Brinon, une espèce de cinglée gâteuse d'extrême droite, est la présidente pour rire. La pauvre Guilaine Depis qui hurle à "l'Etat de droit", "l'Etat de droit" pour défendre le violeur de petits garçons de huit ans Gabriel Matzneff ne croit pas si bien dire. L'Etat de droit, c'est-à-dire la dictature des juges pro-pédophiles du très mitterrandien Syndicat de la Magistrature issu de Mai 68, est bien le règne de la justice de classe où la maffia germanopratine peut violer sans être inquiétée les enfants de pauvres, qu'ils soient français, belges ou philippins. Depis se caractérise par sa totale absence de scrupules, indispensable dans son cas où l'imbécillité, la paresse et l'incompétence l'empêchaient d'arriver par le mérite ou le talent à la situation qu'elle convoitait ardemment: fréquenter les salons des beaux quartiers de Paris. Voir *Michel Onfray, pour la parenté de la démarche, et la façon dont ces arrivistes provinciaux s'insinuent dans la mafia germanopratine de la rive gauche (caviar), biotope répugnant d'origine mitterrandienne: par les pédos, naturellement.


Françoise Laborie


François Mitterrand. Se décrit lui-même, dans une lettre à sa maîtresse comme ayant un appétit de "loup-garou" pour les très jeunes filles. Il est douteux cependant (quoique possible) de le classer pour l'instant parmi les pédophiles. Il ne semble pas se trouver mêlé à des turpitudes scabreuses dans sa jeunesse et son casier ne présente pas d'affaires de moeurs. Mais à la fin de la guerre, il veut faire oublier qu'il a été collaborateur et relancer sa carrière sur de nouvelles bases. Et voici comment il décide de s'y prendre en arriviste totalement dénué de scrupules: il va se marier, avec les Gouze, dans la famille pédophile (la "Familia Grande" comme l'appelle Camille Kouchner), comme d'autres se marient dans la banque ou les syndicats. Et il va désormais passer son temps à faciliter le développement de réseaux pédophiles, et à leur garantir l'impunité, tout en leur fournissant une aire de jeux dans le département sur lequel il a fait main-basse: la Nièvre. C'est sur ces nouveaux réseaux de pouvoir, transpolitiques, et authentiquement pédosatanistes que s'appuie Macron. A propos de Mitterrand se décrivant en "loup-garou" pervers, on observera le vocabulaire qu'il emploie - pour témoigner son admiration (!) - quand il décrit son ami intime Gabriel Matzneff: "un mélange de Dorian Gray et de Dracula" (Matzneff à l'Elysée, La Feuille littéraire, janvier 1989). Avec Mitterrand, nous sommes bien parmi les monstres. Des monstres pas "gentils" du tout, qui soit se délectent de la torture et du viol de jeunes enfants, soit encouragent et protègent leurs horreurs.


Frédéric Mitterrand, neveu de François Mitterrand, Réseau CORAL (adoubé par François Mitterrand, financé par le CRÉDIT AGRICOLE). Ce pédocriminel en deux citations: "AU-DESSUS DE 14 ANS, C'EST DÉGUEULASSE" (se croyant plein d'esprit dans l'émission entre pédos présentée par Thierry Ardisson sur Paris Première, "93, Faubourg Saint-Honoré") - "Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de MARCHÉ AUX ESCLAVES M'EXCITENT énormément […] La profusion de garçons très attrayants et immédiatement disponibles me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de réfréner ou d’occulter" (in: La Mauvaise vie, Robert Laffont, 2010).


Gabriel Matzneff, pédocriminel revendiqué et revendicateur, "anarcho-pétainiste" et copain du néo-nazi Michel Caignet qui l'avait interviewé dans le magazine pédophile Gaie France, bien que Matzneff soit de père et de mère juifs et soutenu par le soi-disant "antifasciste suprême", Pierre Bergé. Matzneff s'est vanté sans complexe dans son journal de sodomiser de force des petits garçons (parfois de huit ans, comme le petit Philippin Esteban, dont la souffrance le laissait indifférent). Les aventures pédophiles de Matzneff commencent en Afrique du Nord sous l'égide de son maître Montherlant, grand consommateur de petits Maghrébins. Dans les années 1980-2000, Matzneff est soutenu financièrement et logistiquement par *Christophe Girard, c'est-à-dire par *Pierre Bergé. Matzneff est le grand copain de François Mitterrand jusqu’au scandale provoqué par Denise Bombardier sur le plateau de Bernard Pivot devant des millions de téléspectateurs. Mitterrand instrumentalise ensuite la peu lucide Bombardier en urgence (le lendemain) pour prendre médiatiquement ses distances avec Matzneff qui devient encombrant, tandis que le soixante-huitard mitterrandien Jacques Lanzmann, un peu lent à la détente, envoie à Bombardier une lettre lui signifiant qu’à la place de Matzneff, il l’aurait cognée, tandis que Sollers, autre pédophile soixante-huitard, conseille à la Québecoise de mieux se "faire baiser". Lanzmann, rappelons-le, est l'auteur de deux livres sans intérêt, mais édifiants par les titres et les collaborations: "L’Elysée comme si vous y étiez" (1992) et "C’est l’histoire d’un mec", écrit avec Serge July, directeur du Libé ouvertement pédophile issu de Mai 68. Serge July a débuté sa carrière sous une fausse identité comme agent de la diversion de Bruay en Artois, afin de rendre l’enquête impossible sur l'enlèvement, le viol et l'assassinat d'une petite fille. On reconnaît Matzneff à ses défenseurs mitterrandiens: battre les femmes ou violer les enfants, tout un programme. Matzneff était très copain avec le père de *Sylvain Tesson, qui l'a défendu jusqu'au bout, et quand les réseaux d'extrême droite de Sylvain Tesson ont été démasqués, c'est Jack Lang qui a bondi à la rescousse de Sylvain Tesson comme il avait bondi à la rescousse du pédophile Pascal Sevran en 2006 suite à ses propos racistes sur les "Nègres" et la famine en Afrique... On voit que les étiquettes et les postures politiques "antifascistes" et "antiracistes" des socialistes sont juste bonnes pour distraire les pigeons: les vrais réseaux, occultes, sont "transcourants".


Geoffroy Gazeau, pédocriminel, bat les femmes. Petit "baron" de Bourges (Cher). Fils à papa, influence au sein de très puissants réseaux mitterrando-macrono-maçonniques, auteur d’actes pédophiles commis notamment sur la petite Djémila Zeghoudi. Jamais condamné, jamais inquiété à cause de ses protections maçonniques provinciales (radicaux de gauche mitterrandiens). Le Berry Républicain – dont ce n’est pas le coup d’essai: on appelle aussi ce torchon le "Pourri Ripoublicain" – n’hésite pas à présenter ce tocard pédocriminel qui violente les femmes comme une admirable vedette locale malgré des faits plus qu'avérés. Madame Zeghoudi, menacée, a demandé et obtenu l’asile en Suisse, l'administration helvétique reconnaissant après examen du dossier qu’elle courait un danger pour sa vie en restant en France: cela donne à deviner la puissance et l'extension des réseaux dont le très macroneux "Pourri Ripoublicain" est incontestablement un acteur. Voir *Jean-Michel Baylet.


Georges Fritsch, réseaux mitterrandiens de l'Yonne, ancien curé qui a fui la région parisienne suite à des affaires de moeurs, a créé la fraternité Notre-Dame en 1986 peu avant la libération de Dunand (et dans ce but?), et était l'ami de Georges Decuyper directeur de l'Apajh, qui a couvert les disparitions et les gérants de ses centres, les époux Charrier. En 1989, Fritsch décide de devenir visiteur de prison. Il a ensuite hébergé Dunand en "réinsertion" avec la Fraternité. Il se trouve aussi que si Dunand a pu se retrouver en insolvabilité au moment de rembourser ses victimes, c'est grâce à son mandataire financier, à savoir Georges Fritsch. Depuis, la Fraternité Notre-Dame aurait été dissoute, et est devenue la société SAFIR en 1996, puis T.O.P deux ans plus tard. Fritsch, lui, a disparu sans laisser d'adresse, laissant derrière lui quelques cartons d'invitation à des "soirées Q". Voir *Emile Louis, *Claude Dunand, *Pierre Arpaillange et *Jean-Pierre Soisson.


Georges Lapassade


Georges Marbeck


Georges Moustaki


Georgina Dufoix, Réseau CORAL (adoubé par François Mitterrand, financé par le CRÉDIT AGRICOLE)


Gérard Depardieu, saltimbanque vulgaire et ridiculement grandiloquent qualifié d'"acteur", bizarrement surcoté, il devient une star sous Mitterrand. Il grandit dans le Berry, à Châteauroux. Prostitué consentant dès l'âge de 9 ans selon ses propres déclarations, il assiste à des viols, puis participe lui-même à des viols collectifs à l'âge de 15 ans. Admirateur de Gilles de Rais (comme *Michel Tournier), il déclare dans un dialogue filmé avec Carmet en 1989 (à la télévision d’État mitterrandienne, donc): "Un homme comme Gilles de Rais, tu vois toi tu ne connais pas Gilles de Rais, c’est un homme quand même qui a trucidé, baisé, enamouré comme disent les italiens, de tout, plein de gens, plein d’enfants, il en a ouvert les ventres … Ils en baisaient … Idi Amin Dada, l’anthr… c’est au delà de l’anthropophagie, je trouve ça vraiment magnifique." Dans les années 1980, il est le larbin dévoué de *Jack Lang avec qui il soutient la réélection de François Mitterrand en 1988. Il est aujourd’hui rattrapé par des affaires de viols en cascade, sur personnes majeures et mineures.


Gérard Durant, Réseau CORAL (adoubé par François Mitterrand, financé par le CRÉDIT AGRICOLE)


Gérard Menoud, Réseau TORO BRAVO, Réseau C.R.I.E.S. (Centre de Recherche et d'Information sur l'Enfance et la Sexualité) et réseau franco-belge des presbytères de la Nièvre


Gérard Mercury, curé catholique. Actes pédocriminels envers huit enfants dont il s’occupait entre 1994 et 1999 lorsqu’il officiait dans les paroisses de Léognan et de Saint-Médard-d’Eyrans, avant d’être muté à la paroisse Saint-Jean-Marie-Vianney-Curé-d’Ars de Pessac. Condamné à 4 ans de prison par le tribunal de Bordeaux.


Gérard Molina


Gérard Soulier


Gérard Vallès


Gery Laffy, Réseau CORAL (adoubé par François Mitterrand, financé par le CRÉDIT AGRICOLE)


Gilbert Eymard


Gilles Chatelet


Gilles Deleuze, "philosophe" post-moderne, idéologue de la pédophilie. Appelle à voter Mitterrand en 1981.


Gilles Sandier


GRED Le Groupe de recherche pour une enfance différente (GRED) est un "groupe de réflexion [qui] s'adress[ait] à tous ceux et à toutes celles qui se considèrent comme amis/amoureux des enfants et des adolescents, notamment les pédophiles, koréphiles, pédérastes, hétéropédophiles", créé en juillet 1979 lors de l'Université homosexuelle d'été de Marseille et a disparu à la fin des années 1980.
Formé en 1962 par sept couples après une conférence sur la sexualité humaine dans un hôtel de Los Angeles, leur devise était "S'il n'y a pas de sexe avant l'âge de huit ans, il est trop tard" ("Sex before eight, or else it's too late"). Il organisait des camps de vacances où une grande latitude était laissée quant aux rapports entre adultes et enfants, prônait la dépénalisation de la pédophilie, la légalisation de la sodomie dès quatre ans pour tous, des rapports vaginaux avec les fillettes dès l'âge de dix ans. LE GRED ETAIT FINANCE PAR L'ARGENT PUBLIC GRACE AU SOUTIEN DE L'ETAT MITTERRANDIEN sous le premier septennat de François Mitterrand. Voir: *André Baudry.


Guy Hocquenghem, homosexuel et pédophile, journaliste à Libération, amant du pédocriminel *René Schérer, théoricien de la pédophilie, pseudo-philosophe et "prof à Paris VIII". Signataire de pétitions et auteur d'articles et de livres revendicatifs. Appelle à voter Mitterrand en 1981.


Hubert Védrine, ministre de François Mitterrand, fils de Jean Védrine, ami et collaborateur de François Mitterrand, Réseau TORO BRAVO et réseau franco-belge des presbytères de la Nièvre. Hubert Védrine est domicilié de 1977 à 1995 au presbytère de Saint-Léger-des-Vignes, le plus important studio de photographie pédocriminelle d’Europe, alimentant toutes les publications pédophiles en circulation. Hubert Védrine est lié à Olivier Duhamel. C'est lui qui introduit auprès de Mitterrand *Elisabeth Guigou qui refusera de transmettre à Interpol les documents Zandvoort.


Henri Le Bras, curé catholique, est condamné à 10 ans de réclusion en octobre par la cour d’assises de Seine-et-Marne pour avoir imposé entre 1995 et 1998 des relations sexuelles à un garçon âgé de 12 à 15 ans au moment des faits.


Hervé Gaymard, réseau de l’Opus Dei


Horace ? Torrubia


J. Séguier (médecin) ?


Jack Lang, ministre permanent de François Mitterrand. Pédocriminel, Jack Lang a été incarcéré à Marrakech (encore Marrakech!) pour attentats aux moeurs sur des petits garçons. Lang était un habitué de la villa Majorelle, propriété d'YSL et de Pierre Bergé, où Bergé organisait des partouzes avec de jeunes prostitués marocains. Lang est signataire de la pétition du pédocriminel Gabriel Matzneff pour faire libérer les 3 pédophiles Bernard Dejager, Jean-Claude Gallien et Jean Burckardt en 1977. Jack Lang est en 1982 un des 340 clients du réseau CORAL, dénoncé publiquement par Roger Holeindre. Impliqué avec sa femme en 1988 dans l'affaire Rosella Hightower, une école de danse cannoise où les enfants sont prostitués à des puissants et où un jeune espagnol de 15 ans s'est suicidé, brimé pour avoir refusé des avances homosexuelles de professeurs. Un des professeurs est poursuivi pour attentat à la pudeur sur des mineurs, mais il est relaxé dans des circonstances troubles par le tribunal de Grasse et le plus qu'équivoque juge Renard. Yves Bertrand et Montgolfier cherchent à relancer l'enquête, mais se heurtent aux réseaux francs-maçons de la Mitterrandie. Le 6 juin 2005, L’Express rapporte qu'en 1996, un rapport des Renseignements généraux fait allusion à "une vraie affaire de pédophilie survenue en 1988 dans le sud-est de la France et évoque, avec force détails scabreux, le couple Lang, citant des écoutes téléphoniques que personne n’a jamais entendues et qui ont été, selon la note… détruites depuis. Etrange." Etrange? Pas du tout. Jack Lang, déclarait le 31 janvier 1991 à Gai Pied: "La sexualité puérile est encore un continent interdit, aux découvreurs du XXIe siècle d’en aborder les rivages." Le capitaine Paul Barril, subordonné du Commandant Prouteau, créateur de la cellule anti-terroriste de l’Elysée, déclare en audience publique le 29 avril 1997: "Je me rappelle qu’on nous avait alerté pour stopper l’enquête sur le réseau pédophile "Coral" à cause des personnalités mises en cause. Parmi ces personnalités: Jack Lang, le ministre de la culture, mais aussi le neveu du président Mitterrand." Ce réseau Coral impliquait plus de 340 personnalités dans le monde politique, artistique, judiciaire et journalistique qui auraient abusé d’enfants handicapés et autistes. Jack Lang refait l'apologie publique de la pédopornographie en 1999. Défend Polanski, violeur d'une enfant de 13 ans qu'il avait droguée (le comité de soutien de Roman Polanski comprend plusieurs personnalités mises en cause dans le réseau Coral.). Il est dénoncé le 1er juin 2011 suite à sa nomination prévue comme "Défenseur des Droits de l’enfant" (tactique classique, voir la mitterrandienne *Elisabeth Guigou, le mitterrandien *François Lefort des Ylouses, etc.!) Malgré la somme effarante de ses turpitudes, crapule indéboulonnable de la Mitterrandie pédocriminelle – et aujourd’hui de la Macronie qui en constitue le prolongement. Jack Lang est invariablement maintenu à la tête de l'Institut du Monde Arabe par Macron pour des raisons évidentes de damage control, notamment du côté de Marrakech (les bordels pédophiles des villas de Marrakech) et d'Alger (affaire de Jean-Michel Trogneux à l'Université d'Alger). Jack Lang reçoit, juste avant l'incarcération et le "suicide" d'Epstein, en août 2019, près de soixante mille dollars de la part du pédocrimnel américain pour le financement d'une association fantôme, sans siège social et sans activité, "l'Association pour la promotion de la politique culturelle nationale menée dans les années 80 et 90 du XXème siècle" (sic!). En 2006, le grand pourfendeur du racisme Jack Lang monte au créneau pour défendre son ami pédophile mitterrandien Pascal Sevran qui a fait des déclarations parfaitement racistes sur les "Nègres" et la famine en Afrique. En janvier 2024, Jack Lang, cet "anti-fasciste" professionniel bondit à la rescousse du fasciste Sylvain Tesson qui a si fort défendu Gabriel Matzneff, qui est marié à une pornographe bisexuelle, ex-femme de *Jean-Paul Rouve, l'acteur minable et sinistre qui veut "humaniser les pédophiles" et qui a eu des contacts serrés avec les néo-nazis du réseau de *François Durand de Grossouvre (Dominique Venner). Jack Lang qui défend Sylvain Tesson qui défend Gabriel Matzneff - au nom de la culture, cela va sans dire! Les étiquettes politiques sont des attrape-nigauds: depuis Mitterrand, les vrais réseaux de pouvoir s'organisent à un autre niveau. La pédocriminalité en est un.


Jacky Kaisersmertz, instituteur à l’école Paul Bert à Cosne-sur-Loire, réseaux pédocriminels de la Nièvre. Soixante-douze petites victimes torturées et violées de 1970 à 1997, c'est-à-dire de l'immédiat après-Mai 68 à l'immédiat après-Mitterrand (Mitterrand étant crevé en 1996). Couvert par les réseaux pédo-socialistes de l'Education Nationale et la complicité des réseaux pédocriminels de Cosne-sur-Loire (Nièvre) et des environs. "Suicide" plus qu’étrange d’une de ses victimes avant le procès, Thierry Debain, 27 ans, policier à la CRS 52 de Sancerre, et très décidé à abattre le réseau Kaisersmertz, retrouvé mort le 26 janvier 1997 après avoir laissé un message incohérent au rouge à lèvres (sic! Un CRS!) sur un miroir. La Nièvre, fief de François Mitterrand pendant un demi-siècle. La Nièvre, toujours. Jacky Kaisersmertz est condamné, avec beaucoup de retard et de mauvaise volonté par la cour de Nevers à 18 ans de prison assortis d'une peine de sûreté de 12 ans. Peine dérisoire. Comme tous les pédocriminels,  Kaisersmertz recommencera dès qu'élargi.


Jacques Daheron, curé catholique, salarié des Orphelins d’Auteuil est condamné à six ans de prison pour viols et agressions sexuelles sur trois mineurs par les assises de Paris. La Fondation des orphelins apprentis d’Auteuil est condamnée deux ans plus tard au civil en appel.


Jacques Delbouille, Réseau C.R.I.E.S. (Centre de Recherche et d'Information sur l'Enfance et la Sexualité) et réseau franco-belge des presbytères de la Nièvre


Jacques Derrida


Jacques Dugué, Réseau CORAL (adoubé par François Mitterrand, financé par le CRÉDIT AGRICOLE) Pédocriminel en série, organisateur de réseaux. Protégé personnel de François Mitterrand auprès de qui il est introduit par Gabriel Matzneff. Dugué sera condamné à 30 de réclusion en 2002 pour 17 viols sur mineurs dont des enfants de 3 ans. Pendant des années, invité par *Serge July, Dugué tiendra dans le torchon Libération des tribunes où il faisait l'apologie de la sodomie des petits garçons.


Jacques Henric


Jacques Lefort


Jacques Rancière. Grand copain de l'apologiste de la pédocriminalité *René Schérer. Ancien prof de la fausse fac Paris VIII, création gauchiste de Mai 68 comme "fac expérimentale et transgressive" pour paumés, futurs éducs-spés et autres traîne-savates de la déconstruction de genre ou des richesses migratoires rémunérés sur le fromage moisi du CNRS. Paris VIII est le laboratoire de la "French Theory", cette anti-pensée à visée nihiliste qui, pour reprendre les mots de Derrida, veut "déconstruire, c'est à dire détruire" pour le principe. Pour le vulgum pecus, la French Theory s'appelle le "wokisme", c'est la même chose. Ainsi, se revendiquant évidemment de Mai 68, Rancière est un pseudo-philosophe de "l'émancipation" (ben voyons), mais sans aucune importance à côté des Bourdieu, Derrida, Foucault, etc. C'est un gauchiste caviar de dernière catégorie, ringardisé avant même d'avoir connu quelque succès (d'où le sobriquet de "Rance-hier"). Mais son intérêt est ailleurs. Rancière, en effet, est aussi le signataire de pétitions pro-pédophiles, le grand copain du pédophile Michel Foucault qui faisait son marché infantile en Tunisie, le grand copain du pédophile Gilles Deleuze, le grand copain de l'obscur Balibar, gauchiste moisi, mais prof chéri de Macron. C'est un "admirateur" de Rimbaud (la référence incontournable des pédos), et il est promu sur la recommandation de Jack Lang à Audrey Azoulay, cruche analphabète et ministresse socialiste de la turcul, au grade de commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres en même temps que l'actrice porno Catherine Ringer - authentique -,  et en même temps aussi que Patrick Boucheron, le ridicule tâcheron macronien de l'histoire anti-française, reçoit le grade d'officier. Mais il y a beaucoup mieux. Tout prétendu "gauchiste" qu'il soit - Rancière est le "penseur" (lol) célébré par la principauté banquière de Monaco dont il accepte avec émotion le "Prix de la Principauté" 2023 décerné par le prince Albert en personne (la force des convictions, le Rance-hier!) Or c'est ce même Albert de Monaco dont les orgies pédophiles furent dénoncées par Karen Mulder dès 2001 chez le pourri Ardisson qui la fit passer pour folle. Karen Mulder fut même internée: c'est dire la puissance des réseaux pédocriminels! Car nous savons maintenant, 22 ans après, grâce aux carnets de Jeffrey Epstein, que Karen Mulder disait la vérité. Rancière, un filousophe ringard d'une nullité complète, sans aucune influence, et que personne ne lit, mais publié par Le Seuil, célébré par Albert de Monaco (micro-dictateur du bankistan monégasque, donc assez loin théoriquement de la Gauche prolétarienne!)... et signataire de pétitions pro-pédos. Tout est dit, je pense? Ah non: Rancière "enseigne" aussi à "l'European Graduate School" de Saas-Fee, un établissement créé par l'escroc Paolo Knill qui se consacre au délire soixante-huitard et pseudo-scientifique de "l'art-thérapie", une pratique psychanalytique centrée sur les... enfants, et délivre des diplômes bidons. En 2011, le Ministère de la Santé et des Sports a cru bon de rappeller que l'"art-thérapie" est rejetée par la communauté médicale, et plusieurs rapports d'enquête de l'Assemblée nationale, du Sénat et de la Miviludes font remonter des dérives sectaires de cette pratique. Mai 68, enfants, dérives sectaires, Schérer, Rimbaud, Deleuze, Jack Lang, Albert de Monaco... pfouh! et signataire de pétitions pédophiles, par-dessus le marché? C'est vous qui voyez.


Jacques Tillier, Réseau CORAL (adoubé par François Mitterrand, financé par le CRÉDIT AGRICOLE)


Jean Burckardt


Jean Genet


Jean Nicolas


Jean-Paul Aron


Jean Ristat


Jean-Claude Besret


Jean-Claude Gallien


Jean-Claude Krief, Réseau CORAL (adoubé par François Mitterrand, financé par le CRÉDIT AGRICOLE)


Jean-François Lyotard


Jean-Jacques Lebel


Jean-Louis Bory


Jean-Louis Voirain, magistrat, pédophile - procureur à Bobigny, ordre du mérite par Jacques Toubon en 1996, Légion d’Honneur en 2001 !


Jean-Luc Henning


Jean-Manuel Vuillaume, Réseau TORO BRAVO et réseau franco-belge des presbytères de la Nièvre


Jean-Marc Borello. Ami de *Pierre Bergé et de *Danielle Mitterrand. Conseiller de Macron. Son business "social" est lancé en 1981 grâce aux réseaux mitterrandiens. Borello, homosexuel et pédophile intègre sciemment à son groupe sordide de "business social" intitulé "SOS" un bordel à enfants de grand luxe, Les Tournelles, qui est financé à plus de 75% par l'argent public (par la Sécurité sociale et le ministère de la Justice). Les Tournelles sont présentées comme un modèle admirable par le pédophile *Michel Polac en compagnie de *Gérard Depardieu, par Anne Sinclair, épouse *Strauss-Kahn (violeur multirécidiviste condamné), en compagnie de *Robert Badinter, extrêmement pro-pédophile, etc. Le scandale éclatera en deux fois à cause de l'affaire *Mégel. Ami et conseiller de l'ombre de Macron et de la chose qui lui sert de femme, Borello est soutenu sans restriction par les réseaux de l'Etat macronien. Dans le château du XIXe siècle de l'institut des Tournelles, financé notamment par la Sécurité sociale et le ministère de la Justice, *Danielle Mitterrand, Raïssa Gorbatchev ou encore la juge Eva Joly donnaient des conférences devant un auditoire d'élèves à la dérive, âgés de 7 à 18 ans à qui on ne refusait rien. Ledit Borello a expliqué au procès que c’est lui qui a « convaincu des ministres d’aider les Tournelles » et a affirmé y avoir emmené Danielle Mitterrand, la tante pro-pédophile (réseau C.R.I.E.S.) du ministre pédophile *Frédéric Mitterrand. Une affaire de famille, en somme. Borello recruté comme prof à Sciences Po par Richard Descoings. C'est là qu'il a formé Macron au concours de l'ENA. Borello dirige le bureau politique de LREM. Borello crée sa "Chambre de l'économie sociale et solidaire" qui est en fait une opération de privatisation de l'Etat-providence et du tissu associatif français par un groupe tentaculaire et opaque qui récupère les marchés depuis Macron et en crée de nouveaux (centre de déradicalisation pour les nationalistes, accueil des migrants).


Jean-Marie Chesnais Signalé en 2022 parmi les signataires d'un collectif qui réclame d'adopter des "enfants ukrainiens". Cité par: WG Morkhoven, 2001. Organiserait toujours des "spectacles pour les enfants" dans la Nièvre ("Le Luisant").


Jean-Marie Genet


Jean-Marie Simonnet


Jean-Marie Vincent


Jean-Michel Baylet, fondateur du Parti Radical de Gauche: mitterrandien, franc-maçon du GODF, pédophile, criminel sexuel, auteur de viols répétés sur Nathalie Collin entre ses 12 et 14 ans. En 2012, il frappe et viole sa collaboratrice parlementaire Bernadette Bergon qu'il séquestre nue chez lui. Dans chacun des deux cas, le Parquet français, complètement pourri, classe l'affaire sans suites alors que les faits sont avérés. Usant de sa force comme patron de presse et de ses relations consanguines avec l'Etat profond, Jean-Michel Baylet crée l'affaire Baudis de toutes pièces comme un contre-feu pour détourner sur un bouc émissaire les accusations de pédophilie qui le menacent, lui, grâce au plus qu'équivoque Karl Zéro (Marc Tellenne), franc-maçon, ami de *Jack Lang et de *Gabriel Matzneff (Karl Zéro a versé 15.000 euros pour provoquer le faux temoignage d'une prostituée immigrée contre Dominique Baudis). Plus récemment, Jean-Michel Baylet a fait anonymement donner contre l'influenceur Papacito toute la presse régionale qu'il tient depuis 2018 via la présidence du "Syndicat de la presse quotidienne régionale", regroupant les principaux groupes de presse entre les mains desquels se concentre l’immense majorité des titres régionaux, du Berry Républicain jusqu'au Midi Libre. Le maire véreux de Montjoi démasqué par Papacito, Christian Eurgal, soi-disant "artiste peintre" de "profession" (!), est surtout un franc-maçon, "radical de gauche" (le parti bidon des francs-macs), très lié à Jean-Michel Baylet. Les attaques diffamatoires de La Dépêche de Baylet contre Papacito ont d'ailleurs été relayées sans surprise par les réseaux sociaux comme PRG82000 (facebook) ou ostensiblement marqués GODF. Bio: Jean-Michel Baylet est le fils d'Évelyne Isaac, juive algérienne, qui se marie en 1940 avec Jean Baylet, franc-maçon et directeur en chef de La Dépêche de Toulouse, torchon interdit à la Libération pour collaboration (ses bureaux sont mis sous séquestre). Très anti-gaulliste, présidente du Groupe La Dépêche du Midi de 1959 à 1995, Évelyne Isaac-Baylet est la première femme présidente de conseil général en France, de 1970 à 1982 avec le soutien de son ami François Mitterrand, plaçant même au conseil d'administration de la Dépêche l'ami de Mitterrand René Bousquet, collaborateur nazi pendant la Seconde Guerre mondiale. Jean-Michel Baylet se lance en politique en 1973 en fondant avec Robert Fabre le Mouvement des radicaux de gauche (MRG) destiné à devenir le parti des francs-maçons et à peser comme arbitre dans les décisions politiques et financières (en prenant des commissions au passage, une habitude du PRG devenue proverbiale et de notoriété publique). Fort des liens d'amitié entre François Mitterrand et sa mère, Evelyne Isaac-Baylet, qui soutient Mitterrand à travers son journal depuis 1965, Jean-Michel Baylet est appelé au sein du gouvernement Laurent Fabius en juillet 1984, comme secrétaire d'État auprès du ministre des Relations extérieures. Jean-Michel Baylet est élu, le 28 janvier 1996, avec 81,5 % des voix, président de Radical, le parti des francs-maçons du Grand Orient, qui est renommé Parti radical socialiste la même année, puis Parti radical de gauche en 1998. Il prône l'instauration d'un gouvernement mondial, la dépénalisation du cannabis, l'euthanasie et le mariage homosexuel. Il est nommé ministre du gouvernement de Manuel Valls sous Hollande. Lors de la campagne présidentielle de 2017, il annonce son soutien à Emmanuel Macron, candidat d'En marche. Jean-Michel Baylet appartient à la loge Phare Demain du Grand Orient de France, comme *Jean-Pierre Soisson. Ménage à trois: la femme de Baylet, Marie-France Marchand est en même temps la maîtresse officielle du mitterrandien Laurent Fabius, intriguant dans le politico-financier à l'échelle internationale.


Jean-Michel Wilheim


Jean-Noël Bardy, Réseau CORAL (adoubé par François Mitterrand, financé par le CRÉDIT AGRICOLE)


Jean-Paul Rouve, acteur de dernière catégorie, interprète de pédophiles qui, à l'écran, "cherche à humaniser" les violeurs d'enfants. Premier mari de Bénédicte Marin, pornographe tâcheronne, bisexuelle revendiquée qui s'est remariée avec les dernier soutien connu de Gabriel Matzneff, Sylvain Tesson, lamentable écrivassier totalement dénué de talent qui doit d'être édité exclusivement à son appartenance à la maffia germanopratine en qualité de fils à papa, mais écrivain-star des bigots charismatiques (comme Le Pèlerin magazine, repaire de cathos pédos, au point qu'ils s'amusent entre eux à l'appeler le "Pèderin"!)


Jean-Paul Sartre (voir Serge July)


Jean-Pierre Colin


Jean-Pierre Duteuil


Jean-Pierre Faye


Jean-Pierre Ricard, évêque de Bordeaux durant dix-huit ans. Dans une déclaration lue à Lourdes par le président de la Conférence des évêques de France Éric de Moulins-Beaufort, a reconnu publiquement avoir violé une adolescente de 14 ans alors qu’âgé de 45 ans, il était curé à Marseille. L’enquête visant Ricard, désormais cardinal (!) a été classée pour prescription.


Jean-Pierre Rosenczveig, chef de cabinet de la Secrétaire d’État à la famille de François Mitterrand, Réseau CORAL (adoubé par François Mitterrand, financé par le CRÉDIT AGRICOLE)


Jean-Pierre Soisson, député de l'Yonne de 1971 à 1998, président du conseil régional de Bourgogne, ministre du Travail, de l'Emploi et de la Formation professionnelle de François Mitterrand de 1988 à 1991, puis Ministre d'État, ministre de la Fonction publique et de la Modernisation administrative jusqu'en 1992, puis Ministre de l'Agriculture et du Développement rural jusqu'en 1994, c'est-à-dire sous Rocard, Cresson et Bérégovoy, donc pendant presque toute la durée du second septennat de Mitterrand. Il est très clairement mêlé à toutes les affaires de réseaux sado-masochistes des pédosatanistes de l'Yonne qui éclatent -et sont étouffées - dans les années Mitterrand (*Emile Louis, *Claude Dunand, *Pierre Charrier, etc.). Dans l'affaire Claude Dunand, condamné à la réclusion criminelle à perpétuité en 1991 pour commerce, proxénétisme, sadomasochisme et actes de barbarie, Jean-Pierre Soisson intervient EN QUALITE DE MINISTRE DE FRANCOIS MITTERRAND pour faciliter la remise en liberté du prévenu, pendant sa période de détention provisoire. Tout en précisant qu'il ne savait pas qui était Claude Dunand, il confirme lui-même avoir transmis à *Pierre Arpaillange, alors ministre de la justice, une lettre rédigée par Georges Fritsch, curé pédocriminel, dans laquelle ce dernier se prévaut de ses « vieilles et excellentes relations avec Jean-Pierre Soisson » pour plaider la cause de Claude Dunand. Celui-ci est remis en liberté, dans l'attente de son procès, trois semaines après la transmission de cette lettre. Soutient Macron en 2017. Déclare: "Je voterai sans hésitation Macron" en 2021. Toujours les mêmes réseaux.


Jean-Toussaint Desanti


Joël Le Scouarnec. Né à Paris en 1950, ce chirurgien a exercé à Jonzac jusqu'à sa retraite, en 2017. Il est tristement célèbre pour être un des plus grands prédateurs pédophiles de l'histoire, avec 349 victimes présumées.


Joseph Doucé (Pasteur protestant franco-belge), fondateur du réseau du "Christ Libérateur" assassiné après l’arrestation du curé pédocriminel Nicolas Glencross (TORO BRAVO). Edwy Plénel a soutenu que Doucé a été exécuté sur l'ordre de Mitterrand à son proche Jacques Fournet, directeur des Renseignements Généraux. Fournet est l'ami d'enfance du baron de la Mitterandie Michel Charasse. Plénel le décrit comme "le plus policier des socialistes, le plus mitterrandien (!) des policiers: Jacques Fournet, sorti de l'ENA en 1976, préfet de la Nièvre (!)" (Edwy Plénel, La Part d'ombre) Il est l'illustration d'une politique entreprise par Mitterrand avec François de Grossouvre ("suicidé" à son tour). Doucé était au croisement des réseaux: réseau pédophile C.R.I.E.S. (Centre de Recherche et d'Information sur l'Enfance et la Sexualité) et réseau franco-belge des presbytères de la Nièvre. Militant homosexuel, ex-amant de Philippe Carpentier, président du C.R.I.E.S. et de Michel Caignet. La Nièvre, fief de François Mitterrand pendant un demi-siècle. La Nièvre, bastion pédophile de la Mitterrandie.


Josy Thibaut


Journal du Centre - Voir: *François Durand de Grossouvre, *Jean-Michel Baylet


Judith Belladona


Laurence Canavero, magistrate, pédophile


Laurent Dispot


Léonide Guy Kameneff, Réseau CORAL et l’Ecole en Bateau (adoubé par François Mitterrand, financé par le CRÉDIT AGRICOLE) – directement impliqué dans plus de 400 viols d’enfants.


Louis Althusser


Louis Aragon


Louis Dupont, curé de Quincampois, dans le réseau de Julien Davidson et Armand Lambry, restera libre et condamné à 3 ans avec sursis de 5 ans. Protégé par l’Église catholique, maintenu dans ses fonctions sacerdotales. Hébergé par la hiérarchie catholique à la "Maison Heureuse", foyer d’enfants de 4 à 6 ans.


Luc Besson 


Madeleine Laïk


Marc Bourragué, pédophile, protégé du pouvoir socialiste


Marc Pierret


Marc Raynal


Marcel Lechien


Marie Thonon


Marie-Elisabeth Raynal, magistrate, mitterrandienne. Affaire Véronique Mortier (Cher, Yonne, Paris, Rouen?). Véronique Mortier est enlevée pendant l'été 1980 à Ourouer-les-Bourdelins (Cher) alors qu'elle rentre à pied à la ferme de ses parents en traversant la campagne. La nuit tombe. Une voiture immatriculée dans l'Yonne la fait monter. L'homme qui conduit a dans les 35 ans. Sur la route, dans le silence de la nuit campagnarde, des paysans entendent les hurlements d'une enfant. Véronique a été enlevée. L'enquête retrouve son cadavre trois jours plus tard à Commentry: elle a été violée, torturée et égorgée. Une couverture est retrouvée avec une touffe de ses cheveux, souillée de vomissures. La couverture porte les initiales "J.D." L'enquête du Major Bonneviale, de Bourges, s'oriente déjà vers un "Parisien" qui aurait une résidence secondaire à proximité du lieu de l'enlèvement et dont le signalement correspond. Mais la magistrate Marie-Elisabeth Raynal, la jeune substitut socialiste dépêchée sur place, semble tout faire pour que l'enquête s'enlise, la couverture disparaît des scellés, et Bonnevialle est relevé en plein milieu des investigations. Curieusement, juste après l'élection de François Mitterrand, l'affaire est classée. Le maréchal des logis chef Renard, de Saint-Amand-Montrond, dira que "des huiles" étaient impliquées. Des "huiles" parisiennes immatriculées dans l'Yonne? Que venaient-elles donc faire à Ourouer-les-Bourdelins, département du Cher? Et pourquoi Marie-Elisabeth Raynal, mitterrandienne issue du Syndicat de la Magistrature, qui sera aussitôt après cette affaire bombardée à un excellent poste à Rouen, s'est-elle employée à entraver l'enquête?


Marie-France


Maurice Balland, curé catholique condamné à plusieurs reprises à des peines de prison dans des affaires de pédophilie, proche du pasteur Doucé.


Maurice Erne


Maurice Gutman


Mazarine Pingeot (se fait appeler aujourd'hui "Mazarine Mitterrand") - réseaux pédophiles. Enfant unique d'Anne Pingeot avec qui François Mitterrand couchait déjà, dans la maison même des Pingeot (et avec l'assentiment du père), alors qu'elle venait seulement d'avoir 14 ans tandis que Mitterrand en avait 41. Après 1981, en parfaite parasite, Anne Pingeot, fille d'un très riche industriel, dispose de l’appareil d’État pour ses déplacements, d’un bureau à l’Elysée et d’un appartement de fonction Quai Branly, tout cela aux frais du contribuable français qui, lui, est sérieusement malmené par la "politique de rigueur" de Mitterrand. On admirera que Pingeot ait vampirisé l'argent public sans vergogne pendant 40 ans, usurpé des places qui auraient dû revenir à des gens compétents et ridiculisé le prestige de la France dans de sordides affaires de cornes-au-cul. Sa fille, Mazarine Pingeot, est une cruche pistonnée et sans talent, comme sa génitrice qui était une promotion canapé de très mauvaise qualité. "Fille-de", comme le "fils-de" Sylvain Tesson et les autres, Mazarine ne manque ni d'éditeurs ni de stations de radio pseudo-culturelles ni de plateaux de télé pour ne rien dire d'intéressant et seulement parler du creux de son "moi, moi, moi". Mais derrière "Mazarine", la fille à papa laide, idiote et surclassée au prénom ridicule, il y a aussi un décor sinistre et sordide, celui de "Louison Editions" dirigées par Alexandra Bikialo qui publie des ouvrages à forts relents pédophiles, comme "Lolita, variations sur un thème". Parmi les préfaciers: Mazarine Pingeot, et l’écrivain adepte d'Aleister Crowley (sataniste) Simon Liberati, compagnon d’Eva Ionesco, une égérie des milieux pédophiles initiée par *Gabriel Matzneff et que sa mère, Irina Ionesco (*Emmanuel Pierrat) photographiait nue dans des scènes de lupanar et des poses suggestives quand elle n'avait que 12 ans.


Michel Bon


Michel Caignet, néo-nazi, sataniste et pédocriminel notoire, pourvoyeur d'enfants. Réseau TORO BRAVO et réseau franco-belge des presbytères de la Nièvre, protégé par Paul Quilès, directeur de campagne de François Mitterrand en 1981 et ministre de l’Intérieur de François Mitterrand. Toujours à la recherche de photographies et de vidéos pornographiques de mineurs, Michel Caignet entra en contact avec Nicolas Glencross, qui lui faisait passer sa production par l’entremise du pasteur Joseph Doucé et de l’abbé Maurice Balland. Michel Caignet avait organisé la fusion des réseaux pédocriminels de la Mitterrandie et des réseaux pédocriminels satanistes néo-nazis qui se rencontraient pour des viols et des tortures d'enfants dans la commune de Saint-Père, dans la Nièvre, où ils avaient leur auberge dédiée et leurs "caves à tournantes", en toute tranquillité. La Nièvre, fief de François Mitterrand pendant un demi-siècle. La Nièvre, toujours.


Michel Cressole


Michel Decré, Réseau C.R.I.E.S. (Centre de Recherche et d'Information sur l'Enfance et la Sexualité) et réseau franco-belge des presbytères de la Nièvre


Michel Foucault


Michel Fourniret


Michel Leyris


Michel Lobrot


Michel Mardore


Michel Meigniez de Cacqueray, lieutenant de Michel Caignet, artisan de la fusion entre réseaux pédocriminels du parti socialiste et réseaux sataniques néo-nazis. Réseau TORO BRAVO et réseau franco-belge des presbytères de la Nièvre.


Michel Onfray, escroc intellectuel professionnel, opportuniste increvable, toujours du côté de la tendance dominante, mais au titre de "rebelle" contre le pouvoir! Pro-Mitterrand, puis anti-Mitterrand, anti-FN, puis pro-FN, pro-vaccin, puis anti-vaccin, il a aussi été pro-pédophile par arrivisme. Voici un passage éloquent du journal intime du pédophile Jaccard: "Ce samedi 26.4.1986 Passé   l’après-midi   au   bar   du   Lutetia   avec   un   jeune   professeur   de philosophie,  27  ans,  Michel  Onfray,  qui  promène  mélancoliquement  avec lui  un  manuscrit  refusé  par  tous  les  éditeurs  parisiens.  Il  se  réclame  de Cioran,  *Matzneff,  Bott  et  moi (*Roland Jaccard) —et  se  refuse  à  tout  compromis." Véritable Tartuffe, jouant les incorruptibles alors qu'il est toujours prêt à toutes les compromissions, Onfray s'est fait un trou dans le fromage médiatique avec son "université populaire contre le Front National" et en instrumentalisant l'histoire visiblement inventée, un vrai conte de Grimm, de ses "pauvres parents valets de ferme". Il est aujourd'hui la groupie déclarée du néo-nazi Alain de Benoist et du néo-fasciste Eric Zemmour. S'il hait Macron, c'est à la manière de Juan Branco ou de Jean Edern Hallier avec Mitterrand: il aurait tant désiré que Macron fasse de lui le filousophe officiel de son gai régime arc-en-ciel ou un ministre de la Culture, mais eux n'ont pas voulu de sa face de lune de vieux péteux. Il se gardera bien de rappeler aujourd'hui qu'il courtisait ouvertement le milieu pédophile mitterrandien - *Gabriel Matzneff, *Roland Jaccard, *Bernard-Henri Lévy, *Pierre Bergé - pour caser ses manuscrits foireux. Son nouveau public de blaireaux pourrait ne pas comprendre que, sous Mitterrand, il appelait la pédophilie de Matzneff - et sa "littérature" de violeur d'enfants de huit ans - un "refus intellectuel de tout compromis": "ben voyons", comme dirait son copain Eric Zemmour (qui se refuse à discuter, paraît-il, du scandale des réseaux pédophiles...)


Michel Polac, animateur de l'émission en foire d'empoigne "Droit de réponse" qui est diffusée de l'élection de Mitterrand en 1981 jusqu'au début du second septennat où elle change de formule ("Libre et change"). Droit de réponse est un spectacle répugnant-type de la Mitterrandie, où il s'agit surtout de démolir les partisans de "l'ordre moral" (on a compris: les anti-pédos, etc.) qui sont, naturellement, des "fascistes". Publie un journal intime qui fait scandale en 2000 grâce à Marc-Edouard Nabe. Polac s'y vante de violer avec délectation des petits garçons. Pathétiquement, il accuse les lecteurs écoeurés d'être des "antisémites"! Le truc ne prend pas, et sa très sale gueule disparaît, enfin, définitivement, du paysage audiovisuel qu'elle polluait depuis 1981.


Michel Pont ?


Michel Salzmann, Réseau CORAL (adoubé par François Mitterrand, financé par le CRÉDIT AGRICOLE)


Michel Tournier, ami "littéraire" de François Mitterrand qui lui rendait fréquemment visite d’après son propre aveu. Pédophile. Christian Combaz l’accuse ouvertement d'avoir régulièrement "consommé" des petits garçons au vu et au su de toute la mafia germanopratine. Les preuves abondent dans ses écrits, du Roi des Aulnes qui met un pédophile nazi en vedette au Vol du Vampire, où Tournier prétend de façon mensongère que l’enfance est un concept artificiel inventé au XVIIIe siècle (la conclusion qu'il essaye d'insinuer étant: l’enfance n'existe pas, donc la pédocriminalité non plus: donc open bar sur les gosses). L'un des deux romanciers préférés de Macron dans son adolescence avec le pédophile André Gide.


Michèle Pierret


Monique Olivier


Négrepont ?


Nicole Belloubet, agent déclaré des réseaux pédocriminels. Mitterrandienne, Belloubet adhère au PS en 1983 et se présente aux élections municipales de 1989 à Saint-Rémy-lès-Chevreuse sous le slogan "GENERATION MITTERRAND!" En 2001, à la demande de *Jack Lang, alors ministre de l'Éducation nationale, elle rédige un rapport intitulé "Trente mesures pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles dans les établissements scolaires" (Jack Lang, scolarité et sexe: un mélange instructif). Le 30 mai 2017, elle participe à la délibération d'une décision sur une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) ayant pour effet d'augmenter significativement le temps de parole alloué dans les médias aux candidats à la députation du parti LREM. Le 21 juin 2017, elle est nommée ministre de la Justice et garde des Sceaux dans le gouvernement Édouard Philippe. En juin 2019, à la demande de Macron, elle propose la légalisation des rapports avec des enfants de 13 ans. Elle reçoit une pub énorme de la part de la Dépêche du Midi, torchon du violeur pédophile récidiviste *Jean-Michel Baylet, mitterrandien et franc-mac de la même loge que *Jean-Pierre Soissons, passé au macronisme militant.


Nicolas Glencross, curé catholique, pédophile notoire, Réseau C.R.I.E.S. (Centre de Recherche et d'Information sur l'Enfance et la Sexualité), Réseau TORO BRAVO et réseau franco-belge des presbytères de la Nièvre (presbytère de Saint-Léger-des-Vignes, route de la Machine). Glencross adoptait chaque année un enfant d’Amérique du Sud qui disparaissait. Glencross n’a été inquiété qu’en 1990, alors que le régime de François Mitterrand est au bord de l’effondrement. Une perquisition au domicile de Glencross à Saint-Léger-des-Vignes permet de mettre la main sur une collection de 20.000 à 30.000 photos pédopornographiques, la plus importante de l’époque en Europe. Sitôt incarcéré à la prison de Fresnes, au  mois  de  décembre  1991, Glencross meurt d’une crise cardiaque, tandis que le "pasteur" Joseph Doucé est retrouvé nu, assassiné, dans la forêt de Rambouillet, près de Versailles, comme Robert Boulin, le père du pédophile Bertrand Boulin, dont le corps avait été découvert au matin du 30 octobre 1979 dans l'étang Rompu de la forêt de Rambouillet. Nul ne sait ce qu’il est advenu des "fils adoptifs" disparus du curé de Saint-Léger-des-Vignes. Hubert Védrine, le grand ami de François Mitterrand, n'expliqua jamais l'émotion que lui avait laissé autant de disparitions de jeunes gens de son propre domicile, ou comment il n'avait rien vu de ce qui s'y passait. Le  presbytère  du  curé  Glencross, en effet,  servait  de  domiciliation  à  Hubert Védrine. Sans cette adresse il n’aurait jamais pu être conseiller municipal de Saint-Léger-des-Vignes entre 1977 et 1995. Son père, Jean Védrine, était à la fois un proche du curé Glencross et de François Mitterrand. Cela signifie que Glencross était protégé par Mitterrand lui-même. Nous retrouvons la trace de Glencross autour de la création d’une troupe de théâtre dans les années 1950 et d’un club de rugby à Saint-Léger-des-Vignes en 1961. Ceci est la preuve que Nicolas Glencross était à Saint-Léger-des-Vignes dès les années 1950. Que savons-nous de plus sur le curé Glencross? Catherine Barbotin-Larrieu épouse Scholastique, juge d’instruction dans le dossier Glencross, a été mutée rapidement pour être remplacée par le juge Frédéric N’Guyen. L’un des avocats du curé était Maître Jean-Pierre Mignard, élevé dans la Nièvre, et parrain de deux des enfants de l’ancien président François Hollande. N'Guyen a notamment  été  l’avocat  de Libération, torchon de promotion de la pédophilie décomplexée pendants les années 1970-1980, et le défenseur de Roger Auffrand dans le cadre de l’affaire du Coral en 1982. Aucun hasard dans le fait que Glencross n’est autre que l’oncle de Peter Glencross, business-manager de l’entreprise Spartacus.


Nicole Nicolas


Olivier Bailly, magistrat, pédophile, condamné, révoqué. Proposait sa propre petite fille sur Internet aux réseaux de violeurs pédocriminels. Cette ordure était... juge pour enfants!


Olivier Duhamel, pédophile, violeur de ses propres enfants. Collaborateur de *Hubert Védrine, l'ami de François Mitterrand et le complice de *Nicolas Glencross. Olvier Duhamel est un intime du couple Macron.


Olivier Guinant, curé catholique, auteur de viols sur garçons mineurs, de 1988 à 1994. Condamné à 12 ans de réclusion criminelle par la cour d’assises de la Corrèze.


Olivier Revault d’Allonnes, mari de *Claude Revault d'Allonnes et beau-père de Myriam Revault d'Allonnes.


Opus Dei - N'apparaît presque jamais, mais certaines coïcidences troublantes suggèrent des connivences à titre individuel. On est d'ailleurs plus qu'étonné que l'ancienne présidente de l'Avref ait démissionné en faveur d'un très ambigu "théâtreux contemporain" qui ne fait pas mystère de sa formation par l'Opus Dei, organisme auquel toute sa famille appartient: Aymeri Suarez-Pazos. Qui est cet individu, nul ne le sait vraiment, et son profil du type Libération des années 1970 n'est pas ordinaire pour un chasseur de pédos. Quant à ses "spectacles" contre-culturels débiles sinon inquiétants (mais fortement subventionnés), dans le genre festival off d'Avignon, ils sont intensément relayés dans la presse du Centre, ce qui n'est pas précisément non plus un gage de confiance! Combinaison très irrationnelle, sans justification, donc hautement suspecte, et qui évoque l'association de "damage control" SOS Violenfance créée en anticipation de l'affaire Matzneff par *Guilaine Depis, prête à toutes les compromissions pour sa louche de caviar, et hystérique défenseuse de Gabriel Matzneff, son client depuis plus de 10 ans.


Pascal Bruckner, pro-pédophile assumé, admirateur de *François Mitterrand et ami intime de *Frédéric Mitterrand. Auteur de bouquins sans valeur, mais qui montrent qu'il est mentalement dérangé, avec une fixation sur les enfants: Les Ogres anonymes, Le Divin enfant, et le très nul, mais néanmoins très inquiétant Les Voleurs de beauté, publié par son pote *Bernard-Henri Lévy.


Pascal Faurel


Pascal Sevran, homosexuel notoire dont Bruno Gaccio a démasqué la pédophilie. Se vantait d'être un ami intime de François Mitterrand et de faire partie des "mousquetaires de Mitterrand" avec le pédocriminel *Pierre Bergé et le pédocriminel *Jack Lang.


Patrice Alègre. Voir *Jean-Michel Baylet.


Patrick Henry. Condamné à perpétuité pour le meurtre du petit Philippe Bertrand, à Troyes, en 1977, dont il laisse le cadavre se décomposer sous le lit où il dort. *Robert Badinter, son avocat, proche de Frnaçois Mitterrand, exploite son cas pour faire suspendre la peine de mort (pour un pédophile assassin d'enfant, donc). Relâché - comme tout condamné soi-disant à perpétuité - et aussitôt employé par un illuminé catholique, Charles Corlet, qui veut le "réinsérer" au lieu d'engager quelqu'un de normal, Patrick Henry commet aussitôt une série de crimes et de délits. Il est arrêté en Espagne pour participation à un réseau pédophile. Son ordinateur saisi par la police dévoile des centaines d'images pédophiles.


Patrice Chéreau, homosexuel et pédophile déclaré, théâtreux "contre-culturel" complètement naze, mais fanatique pro-Mitterrand et ami intime de *Jack Lang. Dans Le Monde du 23 mai 1977, Chéreau est un des signataires de l'appel pour la légalisation de la pédophilie. Aux élections présidentielles de 1981 et 1988, il appelle à voter François Mitterrand. Il est récompensé par la Mitterrandie qui le hisse au rang de vedette cultureuse. Intronisé par Jack Lang au Festival d'Avignon, haut-lieu de la pédophilie socialiste, en 1988 et par un Molière, cadeau du pouvoir socialiste, en 1989. Il crève, au soulagement de tous les amateurs de théâtre, en 2013.


Patrick Chesnais, au grand mieux de moeurs douteuses, déclare à la presse d'extrême droite (Causeur) que la sexualisation d’une fillette de 10 ans n'est "pas grave" dans l'affaire *Gérard Depardieu: "ce n'est pas grave" de sexualiser une petite fille de dix ans à propos de la déclaration de Depardieu sur la petite fille: "c'est une salope qui fait de l'équitation parce que ça la fait jouir". En famille avec le *Jean-Marie Chesnais infra? Toute info sur Patrick Chesnais est bienvenue: merci de l'envoyer à la BP de Bruxelles, où j'accuserai réception.


Paul VI (pape de Vatican II). Ce très sinistre individu a toute sa place ici, même si elle peut surprendre les lecteurs les moins bien informés. Paul VI, alias Montini, est d'abord archevêque de Milan, puis il devient pape à la suite d'un micmac extrêmement suspect où la plupart des observateurs objectifs se sont accordés à voir un coup d'Etat. Deux fois, le cardinal Siri, prélat conservateur, est élu par la curie romaine, comme le signalent d'abord les communiqués du Vatican, puis, deux fois, les communiqués sont contredits et le pape présenté est un autre. La première fois, il s'agit du gros Jean XXIII, premier pape à présenter la surprenante singularité d'être en même temps franc-maçon, la seconde il s'agit de Paul VI. Par les rapports, aujourd'hui publics, de l'Ovra, qui est la police secrète de Mussolini, par les dossiers déclassifiés de la CIA, et par les témoignages nombreux de personnalités au-dessus de tout souçon, ou célèbres (Paul Hoffman, Robin Bryans, Franco Bellegrandi, Roger Peyrefitte...), nous savons que Montini-Paul VI était un obsédé sexuel, qu'il a été plusieurs fois raflé dans des bordels masculins au cours de descentes de police, qu'il avait des amants dont certains sont aujourd'hui formellement identifiés (Paolo Carlini, Hugh Montgomery) et qui lui rendaient constamment visite. Le scandale du diocèse de Cloyne qui éclate en 2008 révèle que l'évêque irlandais John Magee, 73 ans, qui a commencé sa carrière sacerdotale comme secrétaire particulier de Paul VI, est à la tête de réseaux pédophiles, et il apparaît rapidement que leur organisation remonte à Paul VI dont le patronage ne fait guère de doute. On doit pouvoir s'interroger sur les véritables mobiles du lugubre Paul VI, l'instigateur de la réforme absurde qui vida les églises pour remplacer les usages par un "catéchisme de l'amour". De quel "amour" s'agit-il? Il semble qu'il ne s'en cache pas dans sa correspondance d'"amour-amitié" avec Jean Guitton et Jacques Maritain, aux allusions très charnelles. Les allusions bizarres au couple homosexuel qu'auraient formé Jésus et saint Pierre sont également instructives. Jean Guitton, pédéraste et pétainiste, était l'intermédiaire dévoué et assidu entre François Mitterrand, qui le connaissait depuis Vichy, et Paul VI. Ajoutons que les *Charismatiques, secte pentecôtiste 100% d'origine contrôlée "Vatican II", suscitée et encouragée par Paul VI, sont à la fois les plus grands pourvoyeurs de scandales pédophiles et, de 1972 à 1995, de fervents soutiens de la dictature mitterrandienne.


Loge Demain, loge maçonnique du Grand Orient de France où l'on retrouve systématiquement des acteurs politiques de la Mitterrandie mouillés dans les affaires de réseaux pédocriminels et de snuff movies, notamment *Pierre Bergé, *Jean-Pierre Soisson et *Jean-Michel Baylet, fondateur du parti des Radicaux de Gauche.


Philippe Beyer


Philippe Chenet-Bresteau, magistrat, pédophile, condamné, révoqué


Philippe Gavi


Philippe Mugnier, directeur de la Fondation *Pierre Bergé, carnets noirs du pédocriminel Jeffrey Epstein.


Philippe Sollers. Pédophile militant, signataire de tribunes pro-pédo. Est allé jusqu’à déclarer agressivement à Denise Bombardier qu’elle ferait mieux de "bien se faire baiser" quand celle-ci a dénoncé les "exploits" pédocriminels dont *Gabriel Matzneff se vante dans sa littérature.


Pierre Arpaillange. Ministre de la Justice de François Mitterrand, "proche des réseaux parisiens la CIA", homosexuel et pédophile. Étouffe l’affaire du pavillon d’Appoigny où Claude Dunand, organisateur des caves pédo-satanistes a violé et torturé à mort les « disparues de l’Yonne ». Promeut un nombre important de jeunes magistrats ayant les mêmes vices que lui.


Pierre Bergé.  Milliardaire, patron d'Yves Saint Laurent, de l'Opéra Bastille, de Globe, et ami intime de François Mitterrand, propagandiste électoral de Mitterrand, bailleur de fonds du parti socialiste. C'est Pierre Bergé qui assure la réélection improbable de Mitterrand en 1988, opération dans le seul but de quoi il a monté son magazine Globe, projet mitterrandien auquel collabore très activement Gabriel Matzneff. Elisabeth Lévy est alors l'employée dévouée de Pierre Bergé à Globe. On la retrouvera, tiens donc! vingt ans après à Causeur, le magazine tenu en sous-main par Gérald Penciolelli et Anne Meaux, deux anciens du GUD, d'Ordre Nouveau, et du PFN, et dont les éditorialistes sont tous issus de la Nouvelle Droite d'Alain de Benoist, grand ami de Gabriel Matzneff, copinant avec Guy Hocquenghem, donnant des interviews à Gaie France... Un hasard, sûrement. C'est encore grâce à Pierre Bergé que Bertrand Delanoë est élu à la mairie de Paris. On peut soutenir que Pierre Bergé fut le grand architecte de la pédocratie mitterrandienne. On le retrouve aux partouzes pédophiles de la villa de Marrakech "La Bambinière" de son ami Yves Saint Laurent en compagnie de Jack Lang (Marrakech, encore!) Un aperçu de son univers mental est donné par le sinistre "La Vilaine Lulu", où le trafic d’enfants, le viol d’enfants, la torture d’enfants, l’assassinat d’enfants sont traités sur le mode "amusant". Jean Edern Hallier, très bien renseigné sur ce milieu, l'accuse dans L'Idiot d'être le commanditaire zéro, via les services de la Mitterrandie, de l'assassinat de Doucé. Hallier appelle Bergé "Bergé l'éventreur" et "le Barbe Bleue de l'Elysee". Sans surprise, le "mari" (!) de Pierre Bergé, Madison Cox, est le paysagiste de "l'île aux (violeurs d')enfants" du pédocriminel Jeffrey Epstein, successivement responsable de la villa Majorelle à Marrakech - propriété d'YSL et de Pierre Bergé, où Jack Lang était régulièrement invité, et où se tenaient des partouzes avec des mineurs - , directeur des musées Saint-Laurent de Paris et de Marrakech (Marrakech!), et président de la fondation Pierre-Bergé-Yves-Saint-Laurent depuis de Pierre Bergé en septembre 2017. Pierre Bergé était un intervenant de la loge Demain du Grand Orient de France (voir: *Jean-Pierre Soisson, *Jean-Michel Baylet).


Pierre de Maillard, curé catholique pédocriminel. Durant 25 ans, de 1995 à 2020, le curé Maillard a abusé de jeunes âgés de 7 à 19 ans en France et en Belgique. ENCORE UNE SALOPERIE DE CURE PEDO COUVERT PENDANT **VINGT-CINQ ANS** [!!!] PAR SA HIERARCHIE POURRIE! Au total, les violences sexuelles s’élèvent à plusieurs CENTAINES! Après deux semaines de procès, la cours d’assise de la Roche-sur-Yon a condamné Maillard à 20 ans d’emprisonnement, dont douze ans de sureté, pour viol aggravé sur 27 mineurs. La décision est assortie de dix ans de suivi socio-judiciaire, d’une obligation de soins, de l’interdiction d’entrer en contact avec des mineurs et de se rendre en Charente Maritime ou en Vendée. Son nom a été inscrit au fichier des délinquants sexuels.


Pierre Dufour, vicaire épiscopal et curé de Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie). Condamné pour "viols et agressions sexuelles", à 15 ans de réclusion criminelle. Il reconnaît avoir violé ou fait subir des attouchements sexuels pendant des années à au moins une dizaine d’adolescents.


Pierre Guillaume, pédophile, antisémite négationniste, gauchiste puis, par le biais de ses réseaux pédocriminels, finit par s'exprimer aussi à l'extrême droite (tout en restant gauchiste). Son ami pédophile Jean-François Lyotard l'invite à rejoindre Socialisme ou barbarie contre la guerre d’Algérie. Puis il fonde la librairie antisémite et négationniste "La Vieille Taupe". Début 1978, lors d’un colloque à l’université de Lyon, Robert Faurisson déclare que le génocide juif et les chambres à gaz n’ont jamais existé. Pierre Guillaume prend contact avec lui et lui ouvre les pages du torchon pédophile Libération fondé par les pédophiles déclarés Sartre et surtout *Serge July, qui a commencé sa carrière sous incognito (pseudo: "Marc") en brouillant délibérement les pistes qui auraient permis d'identifier les assassins pédophiles de la petite Brigitte Dewèvre. Serge July est alors en couple avec Bruno Mattéi, tous les deux impliqués dans ce service commandé. En 1980, Pierre Guillaume réussit ainsi à publier un plaidoyer pour Faurisson dans Libération grâce à Serge July et à Guy Hocquenghem, propagandiste pédophile, qui l’invitent au comité de rédaction au nom de la "liberté d’expression"! Puis Pierre Guillaume est sollicité par le pédophile néonazi Michel Caignet pour la traduction du Mythe d’Auschwitz. Grâce au pédophile fasciste Pierre Gripari, ami de Faurisson (depuis un essai de celui-ci sur la pédophilie de Raimbaud), et collègue et ami au CNRS du gauchiste Serge Thion, Pierre Guillaume parvient à se faire ouvrir les colonnes de diverses revues d’extrême droite comme National-Hebdo et même le très hypocrite torchon d'extrême droite Rivarol, qui prétend "lutter contre les pédophiles". Pierre Guillaume, bien vu de Mitterrand, avait une résidence secondaire à Nevers.


Pierre Guyotat


Pierre Hahn


Pierre Klossovski


Pierre Samuel


Pierre Simon


Pierre-Ange Marino


Pierre-Edmond Gay


Pierre-Etienne Albert, frère catholique de la "Communauté des Béatitudes" de Blagnac. A violé plus de 50 enfants. Condamné à 5 ans de prison par le tribunal correctionnel de Rodez (Aveyron). Charismatique.


Pierrette Garreau


Raymond Lepoutre


Réal Grisélidis 


Rémy Germain


Renaud Goyon


René Bissey, curé catholique, violeur d’enfants en série, condamné à dix-huit ans de réclusion criminelle par la cour d'assises du Calvados. Ses crimes étaient couverts par l'évêque du diocèse de Bayeux et Lisieux, Pierre Pican.


René Schérer, pédocriminel, "philosophe de la pédophilie" à Paris VIII, fausse fac créée par des soixante-huitards, mais vrai bastion de pédocriminels et centre de diffusion pseudo-académique de la pédophilie soixante-huitarde. Le pédocriminel Michel Foucault, qui s'achetait pour les vacances des enfants tunisiens, recrute *Gilles Deleuze, pédophile, *René Schérer, doctrinaire de la pédocriminalité, *Jacques Rancière et Etienne Balibar pour créer le département de "philosophie" de Paris VIII (Vincennes) en 1969. Le militant pédophile Guy Hocquenghem, du torchon Libération de *Serge July, est le giton de René Schérer. Il accompagne son maître à Paris VIII pour y faire sa "formation" et y enseigner. Le pédophile Jean-François Lyotard y enseignera aussi. Avec le pédocriminel Luc Rosenzweig, Guy Hocquenghem et Gabriel Matzneff, René Schérer fait partie de la rédaction de la revue "Fous d’enfance", dont les titres sont suggestifs: "Qui a peur des pédophiles?" (Éditions Recherches, avril 1979). René Schérer et Guy Hocquenghem publient, en 1976, Co-ire (en latin : « aller ensemble », « coït » à la troisième personne du singulier…), un ouvrage agrémenté d’une pléiade de photos d’enfants nus qui faisait l’éloge du "rapt": l’enfant n’étant pas la propriété privée des parents, tout adulte a le droit, et même de devoir, ainsi plaidaient-ils, de l’enlever pour éveiller cette sexualité que la bourgeoisie occulte. Mais Schérer est surtout l'auteur du manifeste apologétique de la pédocriminalité, L'Emile perverti ("Libertés 2000", Robert Laffont). En 1982, René Schérer est inculpé dans l'affaire du CORAL (bordel d'enfants, dont un sera retrouvé violé et assassiné, qui est adoubé par François Mitterrand, et financé par le CRÉDIT AGRICOLE). Schérer ose écrire dans l'Immonde, pardon Le Monde du 22 octobre (dont Gabriel Matzneff est un contributeur régulier): « L’affaire du Coral n’est pas sans rapport avec le système adopté lors de l’affaire Dreyfus : “l’intellectuel pédophile” y prenant la place du juif. Malheureusement, il n’existe plus guère, à l’heure actuelle, parmi les intellectuels de Zola ». Avec les Schérer, nous avons, une fois de plus, affaire à une intéressante "famille tuyau de poele" (comme avec les soixante-huitards mittérando-macroniens Kouchner, Duhamel, etc.)  En effet, le frère de René Schérer n'est autre que le cinéaste moisi Eric Rohmer, chéri du Saint-Germain pétainiste, lequel est le père de Denis Schérer, alias René Monzat (on affectionne particulièrement les pseudonymes dans cette famille), le pseudo-journaliste et activiste trotskiste (LCR) et antifasciste de "Ras l'Front", connu pour ses théories conspirationnistes et ses méthodes de délation. Toutes associations liées à l'arrière-cour du quotidien L'Immonde, pardon Le Monde, comme le site débile "La Horde", hébergé — avec d’autres de la mouvance (No Pasaran, Reflex, Solidarité Résistance Antifa, Sud Éducation, Association RaDAR…) — par Samizdat dont le gestionnaire n’est autre qu’Aris Papathéodorou, directeur artistique du quotidien Le Monde depuis 2011 et porte-coton du proprétaire Matthieu Pigasse (directeur à la banque Lazard) et du milliardaire Xavier Niel. Il vous faut un dessin? Le système est bien verrouillé, la Caste sait ce qu'elle fait: grâce à l'Immmonde et à ses sous-marins prétendûment "anti-fascistes", les pédocriminels sont tranquilles, et pour longtemps!


Robert Badinter. Grand ami de Mitterrand, premier ministre de la Justice mitterrandien. Pédophile revendicateur. Se sert du cas Patrick Henry, pédophile et assassin d'enfant pervers en 1977, pour faire suspendre la peine de mort. Badinter soutient que les peines de sûreté peuvent dispenser de la peine de mort. Patrick Henry, condamné à perpétuité, se retrouve naturellement en liberté "pour bonne conduite" (!) et retombe instantanément dans la criminalité. Il est arrêté en Espagne pour participation à un réseau pédocriminel et son ordinateur saisi dévoile des centaines de photos pédophiles. Très proche de François Mitterrand, Badinter est nommé ministre de la Justice du premier septennat socialiste. Il présente à l'Assemblée nationale, le 17 septembre 1981 — au nom du gouvernement de la République —, le projet de loi abolissant la peine de mort. En 2008, Robert Badinter fustige sur France 2 le projet de loi prévoyant une peine de sûreté pour les pédophiles jugés toujours dangereux après avoir purgé leur peine. Il ose déclarer: "Depuis la Révolution française, on va en prison pour des actes ou crimes qu'on a commis, pas pour ce qu'on est, pas au nom d'une dangerosité indiquée par des psychiatres." En 2021, Macron et Robert Badinter célèbrent les quarante ans de l'abolition de la peine de mort. Les amateurs d'ironie relativiseront l'indignation très sélective d'Elisabeth Badinter qui a l'audace de déclarer sur France Inter en 2018: "Je me suis demandé si ces propos violents sur l'avortement n'étaient pas une façon de détourner le regard des crimes pédophiles de l'Église". La même Elisabeth Badinter écrivait pourtant, en 1992: "Le lien érotique entre la mère et l’enfant ne se limite pas aux satisfactions orales. C’est elle, qui, par ses soins, éveille toute la sensualité, l’initie au plaisir, et lui apprend à aimer son corps. La bonne mère est naturellement incestueuse et pédophile." (Élisabeth Badinter, XY de l’identité masculine, Éditions Odile Jacob, Le Livre de Poche, p. 76) L'Eglise est pourrie, mais à pourrie, pourrie et demie, apparemment. Pour un grand nombre de journalistes, il est évident que le gendarme Christian Jambert, assassiné dans la nuit du 3 au 4 août 1997 à Auxerre (Yonne) pour avoir repris l'enquête sur les réseaux des tortionnaires-assassins de l'Yonne, incriminait implicitement Robert Badinter (l'"ancien ministre de la Justice, ami de Mitterrand" était Badinter, et aucunement Arpaillange, malgré ce que des enfumeurs ont prétendu, puisque au moment de l'affaire Dunand, Arpaillange était en fonction, et non "ancien ministre" - Arpaillange n'était d'ailleurs pas ami avec Mitterrand).


Robert Gellman


Robert Megel, Réseau CORAL (adoubé par François Mitterrand, financé par le CRÉDIT AGRICOLE) - condamné à 12 ans pour pédophilie, directeur du Centre pour jeune délinquants, "Les Tournelles", haut fonctionnaire du ministère de la Justice, détaché de la protection judiciaire de la Jeunesse. Arrivé à ce poste parce que homo pour des hauts fonctionnaires et des magistrats.


Roger Cortès, Réseau CORAL (adoubé par François Mitterrand, financé par le CRÉDIT AGRICOLE)


Roger Gentis


Roger Peyrefitte. Homosexuel. Pédophile. Strictement aucun rapport ni au point de vue politique ni au point de vue des mœurs avec le très respectable Alain Peyrefitte, ministre de de Gaulle. Des plaisantins ont tenu à faire de Roger Peyrefitte le cousin d’Alain Peyrefitte, c’est parfaitement faux :  quoique homonymes, ils n’ont aucun lien de parenté connu (ni d’ailleurs aucune ressemblance physique). Relation mondaine de Mitterrand qui l’a soutenu à plusieurs reprises: ils se sont connus via le réseau pédophile des Gouze.


Roland Barthes


Roland Gengenbach


Roland Jaccard, suisse mais français, de nouvelle droite benoistienne, mais aussi de gauche caviar mitterrandienne, en tout cas invariablement pédophile et intimement très lié avec le pédophile *Gabriel Matzneff. Le pseudo-intellectuel à la vénalité proverbiale *Michel Onfray se réclame de lui et de *Gabriel Matzneff pour se lancer à ses débuts dans le milieu germanopratin. Voir: *Michel Onfray.


Serge July, créateur avec Jean-Paul Sartre du "Libé" ouvertement pédophile issu de Mai 68. Serge July a débuté sa carrière sous une fausse identité ("Marc") comme agent de la diversion de Bruay en Artois, afin de rendre l’enquête impossible sur l'enlèvement, le viol et l'assassinat d'une petite fille, Brigitte Dewèvre. Serge July est alors en couple avec Bruno Mattéi, tous les deux impliqués dans ce service commandé. Soixante-huitard, puis soutien de François Mitterrand, puis soutien de Nicolas Sarkozy, puis soutien de Macron. Avec l'affaire *Alègre, Karl Zero a usé de la même tactique de diversion sur ordre, probablement, de *Jean-Michel Baylet. Voir aussi *Pierre Guillaume, antisémite carabiné, négationniste, mais pédophile, que Serge July accueille à bras ouverts dans son torchon. Sous l'apparence des étiquettes politiques, la véritable ligne de démarcation de la Mitterrandie est l'appartenance ou non aux réseaux pédophiles de pouvoir.


Simone de Beauvoir, pro-pédophile déclarée, "compagne" de Jean-Paul Sartre, pro-pédophile déclaré et créateur avec le pédophile soixante-huitard Serge July du torchon Libération, ouvertement et agressivement pro-pédophile.


Stéphane Garbies


Sylvain Tesson est plongé jusqu'au cou dans les réseaux pédocriminels. Est-il lui-même un pédocriminel, c'est ce qui n'a pas encore été établi, mais c'est probablement une question de temps. En effet, Matzneff était très copain avec le père de Sylvain Tesson, qui a défendu jusqu'au bout Matzneff en pleine connaissance de cause, et quand les réseaux d'extrême droite de Sylvain Tesson ont été démasqués, c'est Jack Lang qui a bondi à la rescousse de Sylvain Tesson comme il avait bondi à la rescousse du pédophile Pascal Sevran en 2006 suite à ses propos racistes sur les "Nègres" et la famine en Afrique... On voit que les étiquettes et les postures politiques "antifascistes" et "antiracistes" sont juste bonnes pour les pigeons. Pourquoi l'acharnement de Tesson à défendre Matzneff quand il a été public qu'il s'amusait à sodomiser de force des petits garçons de huit ans? Pourquoi Jack Lang a-t-il bondi à la rescousse de Tesson, alors qu'un livre est paru pour mettre en lumière ce que tout le monde sait: que Tesson a des relations de longue date avec l'extrême droite, voire les néo-nazis? Rappelons, fait aggravant, que Sylvain Tesson est marié à Bénédicte Marin, l'ex pornographe et bisexuelle de Jean-Paul Rouve, sordide acteur de bas étage, qui se complaît à interpréter de pédophiles qui, à l'écran, "cherche à humaniser" les violeurs d'enfants.


Thierry Brac de la Perrière, évêque de Nevers. Le tribunal correctionnel de Lyon le reconnaît coupable d'avoir couvert en toute connaissance de cause les agissements pédocriminels du curé *Bernard Preynat, de l'avoir protégé et DE L'AVOIR LAISSÉ AU CONTACT DES ENFANTS! Brac se retrouve le 27 août 2011 évêque de Nevers (!), membre du Conseil pour la pastorale des enfants et des jeunes (!!) et évêque accompagnateur du mouvement eucharistique des jeunes (!!!). Ah, les jeunes! Il ne peut pas s'en passer, le Brac, hein.


Thierry Lévy, pédophile, avocat infatigable des pédocriminels (il fut d’ailleurs l’avocat de Matzneff). Décédé.


Thomas Declercq


Vera Memmi


Vicq ? Vico ?


Victoria Thérame, soutien aux pédophiles, dans l’affaire de Versailles et à Charlie Hebdo où elle écrit : "Si vous aimez les petites filles et les petits garçons quand ils ont encore le cartable dans le dos, si vous les suivez dans la rue, [...] s'ils viennent dans votre chambre, si vous découvrez les ciels de cuisses tendres et sans duvet, leur trouble et le vôtre, etc. etc." (janvier 1977) Probablement même pas une pédophile, seulement une wannabe bobo, arriviste sans talent qui voulait surfer sur la pédophilie soixante-huitarde, aux dépens des victimes. Voir *Michel Onfray et *Guilaine Depis.


Vincent Montail


Wenceslas Munyeshyaka, abbé responsable de massacre et viols à Kigali en juin 1994, protégé par l’évêque Duval, président de la Conférence des évêques de France (cette même "Conférence épiscopale" composée d'ordures qui font semblant d'écouter les victimes de curés pédos, mais en fait se foutent de leur gueule et protègent systématiquement les prédateurs, quand ils n'en font pas eux-mêmes partie!)


Willy Marceau, Réseau CORAL (adoubé par François Mitterrand, financé par le CRÉDIT AGRICOLE)


Yves Saint Laurent, "compagnon" de Pierre Bergé (voir Pierre Bergé). Pédophile apparemment effacé, mais prédateur redoutable appartenant à un réseau pédocriminel étendu et violent qui s'est développé sous la bénédiction de François Mitterrand.

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